
L’actuel directeur corrompu du FBI, Christopher Wray, a témoigné mercredi (le 12 juillet) devant la Commission judiciaire de la Chambre des représentants. Aussi peu sincère que son prédécesseur, James Comey, il a répondu aux questions des Représentants républicains de manière évasive. Sa comparution n’est qu’une preuve supplémentaire que le système judiciaire américain a été corrompu au-delà de toute raison. Tout aussi menteurs, les services secrets de la Maison Blanche ont annoncé jeudi, le 13 juillet, qu’ils mettaient fin à leur enquête concernant la cocaïne trouvée à la Maison Blanche, car ils sont incapables d’identifier un coupable!
Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article de Patricia McCarthy, paru sur le site d’American Thinker, le 13 juillet.
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Christopher Wray se ridiculise
On reconnaît les psychopathes au fait qu’ils ne répondent pas à la question qui leur est posée ou qu’ils répondent d’une manière qui n’est pas une réponse.
Robert D. Hare*, Without Conscience
L’actuel directeur corrompu du FBI, Christopher Wray, a témoigné mercredi (le 12 juillet) devant la Commission judiciaire de la Chambre des représentants.
Cet homme est aussi peu scrupuleux que son prédécesseur James Comey, aussi peu sincère et autant disposé à dissimuler.
Il n’a répondu à aucune question de manière directe mais, comme par le passé, il a répondu de manière évasive avec l’arrogance que seul un psychopathe peut avoir sous la contrainte.
Alors qu’il pense très certainement avoir échappé à cette audition en riant, il a révélé qu’il était atteint d’une sorte de trouble mental, le genre qui explique comment une personne peut mentir, tricher et peut-être même voler sans sourciller et se sentir fière d’avoir trompé “le peuple”.
Il a refusé d’admettre devant la Représentante Marsha Blackburn que le canular de la collusion avec la Russie que la cabale Obama/Biden a fait subir à Donald Trump était un canular.
C’en était un. Tout le monde le sait maintenant.
Le Rapport Durham, aussi inefficace soit-il en ce qui concerne la responsabilité, a prouvé que l’ignoble programme visant à détruire le Président Trump a commencé pendant la campagne de 2016 et, une fois, à leur grand désarroi, qu’il a été élu, s’est intensifié.
Ce programme était illégitime selon toutes les normes constitutionnelles. Ceux qui y ont participé devraient être en prison. Mais ils n’y sont pas.
Pendant ce temps, le Ministère de la Justice, totalement vénal, fait tout ce qui est en son pouvoir pour que Donald Trump soit condamné pour quelque chose, n’importe quoi, afin de l’empêcher d’être réélu président.
Notre système judiciaire, autrefois le plus respecté au monde, a été corrompu au-delà de toute raison.
Il est devenu quelque chose qui ressemble au NKVD ( le Commissariat du peuple aux Affaires intérieures ) de Staline.
Et ce qui est vraiment effrayant, c’est que le Procureur général Garland, Wray, le chef du DHS Mayorkas et leurs larbins ne sont pas du tout embarrassés par leur abus manifestement extraconstitutionnel de la loi afin de faire taire leurs opposants.
Si sûrs de leur position de pouvoir, ils ne craignent pas de représailles de la part de notre DOJ et/ou de notre FBI, qui manquent totalement d’éthique.
Les États-Unis sont désormais un État policier, dans lequel les détenteurs du pouvoir s’en servent pour détruire leurs détracteurs et leurs opposants politiques.
M. Wray a refusé d’admettre en réponse au membre du Congrès, Matt Gaetz, que le FBI avait protégé la famille criminelle Biden, dissimulé les faits relatifs à leurs manœuvres d’extorsion et de corruption pure et simple qui reviennent à vendre les États-Unis à la Chine.
M. Wray est un chat d’une race particulière. Il est clairement un narcissique malin, à l’aise dans le mensonge, à l’aise dans l’évasion. Il est fier de lui, il se réjouit de son talent pour la dissimulation. Il pense tromper non seulement les membres de la commission, mais aussi le peuple américain.
En fait, la plupart d’entre nous qui ont assisté à sa performance trompeuse l’ont trouvé méprisable.
Il est un clone de James Comey (l’ex-directeur du FBI), narcissique, arrogant et prétentieux.
Il se croit digne de respect alors qu’il ne l’est pas.
Il est le genre d’homme contre lequel les pères fondateurs nous ont mis en garde. N’oubliez jamais la célèbre citation de John Adams :
Notre Constitution n’a été conçue que pour un peuple moral et religieux. Elle est totalement inadaptée au gouvernement de tout autre peuple.
Les Comey, Wray, Mayorkas, Biden et leurs semblables ne sont ni moraux ni religieux, même s’ils prétendent le contraire. L’Amérique est à un carrefour dangereux.
La gauche démocrate a été dévorée par les principes du Forum économique mondial (FEM) : nous ne posséderons rien et nous serons heureux.
L’agenda totalitaire a été entièrement adopté par la gauche mondialiste.
Aucun démocrate, tel que le parti est actuellement constitué, n’osera exprimer un seul mot de dissidence.
Il est fort probable que leurs dirigeants exercent une sorte d’influence sur chacun d’entre eux, car ils ne s’écartent pas des ordres émanant du quartier général.
Il semble qu’aucun d’entre eux n’ait une âme ou une morale.
Nous pouvons tous constater par nous-mêmes le coût désastreux de la dissidence.
Le dénonciateur Gal Luft a tenté de faire éclater au grand jour la vérité sur la corruption de la famille Biden et le vicieux DOJ (Merrick Garland ) l’accuse soudainement d’une peine potentielle de cent ans d’emprisonnement !
Les crimes horribles perpétrés contre toute personne présente au Capitole le 6 janvier 2021 sont catastrophiquement anti-américains ; une preuve de plus que nous sommes devenus un État policier.
La comparution désastreuse de Christopher Wray, devant la Commission judiciaire de la Chambre, n’est qu’une preuve supplémentaire que notre système judiciaire, autrefois vénéré, a été corrompu au-delà de toute raison, au-delà de tout ce qui est juste et moral.
M. Wray pense sans doute qu’il s’est excellemment comporté, qu’il les a tous embobinés.
Mais ce n’est pas le cas.
Tous ceux qui ont assisté à cet acte effrayant doivent aujourd’hui avoir encore plus peur pour notre nation qu’auparavant.
Quelques rares Républicains de la Chambre ont correctement interrogé l’homme.
Les Démocrates se sont mis dans l’embarras en faisant un éloge obséquieux de M. Wray, alors qu’il est responsable d’avoir fait du FBI l’institution policière américaine la moins digne de confiance de l’histoire.
Plusieurs Républicains ont évoqué les sondages qui montrent que le FBI n’est plus respecté et qu’il est même craint, mais M. Wray a laissé coulé ce fait comme de l’eau sur le dos d’un canard.
Il s’en moque éperdument.
Il a le pouvoir et il entend l’utiliser à ses propres fins et pour faire avancer l’agenda de l’extrême gauche.
Il est une sorte de prédateur qui se promène parmi nous.
Les psychopathes ont une vision narcissique, très exagérée de leur valeur et de leur importance, un égocentrisme et un sens du droit vraiment stupéfiants, et ils se considèrent comme le centre de l’univers, comme des êtres supérieurs qui sont justifiés de vivre selon leurs propres règles.
Robert D. Hare
*Robert D. Hare, est un psychologue canadien. Professeur émérite de l’Université de la Colombie-Britannique, il a consacré l’ensemble de sa carrière à l’étude de la psychopathie
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.
Source : American Thinker
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Excellent article ! C’est en effet terrifiant !