
Tandis que l’incapacité physique et mentale de Joe Biden ainsi que sa corruption révélée par les Répulicains à la Chambre des représentants avec l’aide de nombreux dénonciateurs, devient de plus en plus évidente, la pression pour qu’il abandonne sa candidature en 2024 s’accélère. Les Démocrates qui ont placé Joe à la tête du parti parce qu’ils savaient qu’ils auraient le contrôle de son agenda politique, sont maintenant pris à leur propre piège.
Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article de Steve McCann, paru sur le site d’American Thinker, le 26 juillet.
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Le dilemme des Démocrates : comment convaincre Joe Biden de se retirer de la course ?
Alors que l’élection présidentielle de 2024 commence à jeter une ombre grandissante sur le paysage politique américain, de nombreux membres de l’Establishment du parti envisagent discrètement de remplacer Joe Biden en tant que candidat du Parti Démocrate.
Mais qui vont-ils choisir pour remplacer Joe Biden et comment vont-ils le forcer à démissionner ou à se retirer de la course sans créer une tourmente politique au sein du parti ?
L’incapacité physique et mentale de Joe Biden est de plus en plus prononcée et la Chambre républicaine, avec l’aide de nombreux dénonciateurs, révèle des preuves de plus en plus accablantes de la criminalité potentielle de Joe et de son fils, Hunter.
La pression pour le forcer à démissionner ou pour qu’il abandonne sa candidature et reste en poste s’accélère alors que les Démocrates craignent de plus en plus de perdre la présidence en 2024.
Trouver quelqu’un pour remplacer Joe Biden est peut-être le moindre de leurs problèmes.
Si un certain nombre de noms ont été évoqués, Gavin Newsom (le Gouverneur de la Californie), très imparfait, semble être le favori actuel.
Cependant, une autre candidate potentielle fait battre le cœur de nombreux démocrates : Gretchen Whitmer, la Gouverneure du Michigan, âgée de 51 ans, qui parle bien et qui est télégénique. Le 6 juillet 2023, le magazine Politico a publié un article élogieux sur la Gouverneure Whitmer. Dans cet article, Mme Whitmer affirme qu’elle n’est pas intéressée par une candidature à l’élection présidentielle :
Une annonce ultérieure a toutefois montré qu’elle était prête à essayer. Mme Whitmer est en train de créer un PAC fédéral, appelé “Fight Like Hell”, pour soutenir Biden et les candidats au Congrès l’année prochaine…
Cette démarche pourrait également lui permettre d’assumer le rôle de candidate principale à l’investiture démocrate de 2024, en remplacement de Joe Biden.
Jonathan Martin, l’auteur de l’article de Politico, révèle également que de nombreuses conversations en coulisses ont eu lieu avec Mme Whitmer. Il expose en outre la stratégie de plus en plus bancale des Démocrates, qui prévoient une nouvelle victoire facile de Joe Biden en 2024:
Ces conversations en coulisses ont eu lieu alors que les taux d’approbation de M. Biden montrent peu de signes d’amélioration et semblent de plus en plus imperméables aux événements extérieurs, pour le meilleur ou pour le pire. Bien entendu, les Démocrates parient que l’événement externe le plus important de tous – la renomination par les Républicains d’un candidat ayant plus de bagages que l’aéroport d’O’Hare [NdT: l’Aéroport international de Chicago] au moment du Thanksgiving – fera à nouveau basculer l’élection en faveur de M. Biden. Pourtant, même leurs chances supposées de succès dans une telle revanche ne suffisent pas à rassurer les Démocrates.
L’angoisse qui règne actuellement au sein de la hiérarchie démocrate se reflète également parmi les électeurs démocrates de la base, puisque plus de 50 % d’entre eux déclarent ne pas vouloir que Joe Biden se présente à l’investiture.
Si l’Establishment démocrate parvient à obtenir la démission ou le retrait de Joe Biden de la course et que le choix se porte sur Gavin Newsom et Gretchen Whitmer, cette dernière serait, selon toute vraisemblance, la candidate préférée, car elle sera une formidable candidate à la présidence opposée à Donald Trump.
Mais trouver un nouveau candidat pour remplacer Joe Biden est la partie facile. L’amener à démissionner ou à se retirer de la course sans déclencher une tempête politique peut s’avérer beaucoup plus difficile.
Les Démocrates ont exploité la pandémie de Covid-19 pour manipuler de manière inconstitutionnelle les lois électorales des États, étendre et abuser du vote par correspondance et orchestrer une récolte de bulletins de vote sans entrave afin de placer au pouvoir le président peut-être le plus incompétent, le plus corrompu et le plus corvéable de l’histoire des États-Unis.
Ils ne peuvent pas feindre l’ignorance, car pratiquement tous les initiés de Washington savaient que Joe est un bouffon sans principes depuis ses débuts au Sénat.
En imposant ce réprouvé à l’Amérique, ils lui ont également accordé, conformément à la Constitution, le pouvoir illimité d’accorder des grâces préventives à qui bon lui semble. Joe, afin de se protéger et de protéger sa famille, exercera, à un moment donné, sa prérogative présidentielle pour accorder ces grâces.
Si l’on ajoute à cela le spectre d’une victoire de Donald Trump aux élections présidentielles de 2024, le pouvoir de grâce sert également d’outil d’extorsion potentiel entre les mains d’un Joe Biden sans scrupules dans ses relations avec les élites du Parti Démocrate.
Les révélations émanant de la Chambre des représentants et de nombreux dénonciateurs de la criminalité présumée de Joe et Hunter Biden ont été désastreuses.
Un sondage réalisé le 12 juillet 2023 révèle que 56 % des Américains (et 40 % des démocrates) pensent que Joe Biden a probablement reçu des pots-de-vin de la part de sources liées à divers gouvernements étrangers.
Il est peu probable que ces sondages, auxquels s’ajoutent de nombreux sondages montrant que M. Trump l’emporterait sur lui, changent à mesure que de nouveaux délits potentiels sont révélés et que la Maison-Blanche reste incapable de fournir des explications viables.
Face à ce désastre politique, les Démocrates devront, par nécessité, soit forcer Joe Biden à quitter la Maison-Blanche le plus rapidement possible, soit l’inciter à abandonner la course tout en restant en poste.
La réticence de l’Establishment démocrate à obliger un Joe Biden dangereusement incapable et compromis à démissionner est le résultat de l’incompétence bouffonne de sa successeuse, Kamala Harris, et du pouvoir de grâce de Joe Biden.
Si les Démocrates et les médias traditionnels parviennent à forcer Joe Biden à démissionner, il accordera son pardon à lui-même, à Hunter et à d’autres en prenant la porte.
Cela créerait une tempête politique potentielle, car la majeure partie des citoyens serait furieuse de ce flagrant délit d’auto-délinquance.
Il en résulterait un impact négatif sur le Parti Démocrate et ses candidats aux élections de 2024.
En outre, la démission de Joe Biden mettrait en place une Kamala Harris extraordinairement impopulaire, qui perdrait face à M. Trump par deux fois plus de voix qu’elle ne le fait dans tous les sondages.
Son retour dans la course à la présidence, créerait potentiellement plus de problèmes pour les Démocrates parmi les minorités si elle était évincée du ticket de 2024.
Les élites démocrates préféreraient donc un arrangement qui permettrait à M. Biden de se retirer de la course tout en demeurant en poste. Leur arrangement idéal consisterait à donner à Joe tout ce qu’il veut s’il accepte d’attendre le 5 novembre 2024, après le jour de l’élection, pour accorder des grâces préventives. Après quoi les élites du parti pourraient feindre l’indignation face à ses actions.
Elles s’attendent à ce qu’une fois Joe hors de la course, il ne soit plus le centre d’attention de la campagne.
Les Démocrates et les médias traditionnels se concentreraient alors sur la manipulation de l’électorat afin qu’il ignore les allégations de criminalité de la famille Biden, en s’assurant que le peuple américain se concentre sur les problèmes juridiques spécieux de Donald Trump et sur leur nouveau candidat brillant qui se présenterait à l’élection présidentielle.
Alors que cette cabale perd confiance dans les chances de Joe Biden en 2024, elle reste convaincue que, quelles que soient les circonstances l’entourant, presque n’importe quelle personne qu’elle nomme, mais en particulier Gavin Newsom ou Gretchen Whitmer, pourrait gagner tant que Donald Trump, empêtré dans son réseau perfide d’inculpations et de procès, serait le candidat républicain.
La stratégie visant à convaincre Joe Biden d’abandonner la course et de rester en poste comporte toutefois un risque important.
Les Démocrates et les médias traditionnels peuvent-ils garder le silence sur les révélations en cours concernant des pots-de-vin et des fraudes présumés pendant les 15 prochains mois sans révéler leur duplicité, ce qui exaspérerait la majeure partie de l’électorat ?
Un pourcentage de plus en plus important de citoyens prend conscience de la criminalité potentielle de Joe Biden et de sa dissimulation par les Démocrates et les médias traditionnels.
Si les Républicains ne faiblissent pas et continuent d’enquêter de manière agressive, d’ouvrir une enquête de destitution et de dénoncer les complices démocrates de Joe Biden, il est très peu probable que cette cabale soit en mesure de contrôler le narratif pendant une longue période.
Après avoir imposé, avec préméditation, Joe Biden au peuple américain, l’ironie suprême veut que les élites du Parti Démocrate et les médias traditionnels soient aujourd’hui pris à leur propre piège.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.
Source : American Thinker
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