
Rafraichissant : La législation russe n’autorisait déjà pas les manifestations publiques en faveur ou à l’initiative des LGB, elle va plus loin encore.
La Douma russe a approuvé vendredi une loi visant à interdire les opérations de changement de sexe et à interdire aux personnes de modifier leur sexe sur les documents officiels. La législation est maintenant soumise au Conseil fédéral, la chambre haute de l’assemblée législative, et devra être approuvée par le président Vladimir Poutine, bien qu’il soit probable qu’elle obtienne le soutien de ces deux instances.
“Nous sommes le seul pays européen qui s’oppose à tout ce qui se passe aux États-Unis, en Europe, et qui fait tout pour sauver les familles et les valeurs traditionnelles”, a déclaré Vyacheslav Volodin, président de la Douma, selon la BBC. “Nous devons comprendre qu’il n’y aura pas d’avenir si nous n’adoptons pas la loi, si nous n’interdisons pas le changement de sexe.
Le ministère russe de l’Intérieur indique qu’environ 2 990 personnes ont changé de sexe entre 2016 et 2022. Le pays est largement hostile aux droits des LGB et fait partie des nombreux pays d’Europe de l’Est qui n’autorisent pas le mariage entre personnes de même sexe.
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La législation russe n’autorise déjà pas les manifestations publiques en faveur ou à l’initiative des LGB.
Sous Poutine, les médias et les hommes politiques russes ont souligné le contraste entre les approches occidentales des questions LGB et celles de Moscou, positionnant le président russe comme un défenseur des valeurs nationales traditionnelles. Ils ont largement exagéré, car les libertés font partie des valeurs traditionnelles, et ce n’est disons… “pas le fort de la Russie” pour dire les choses poliment !
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
En tout cas dans ce domaine, elle garde la tête sur les épaules parce que pour moi aussi la nature a décidé que l’homme (ou le mâle) était celui muni d’un injecteur de sperme et que la femme (ou la femelle) était celui muni d’une matrice
Donc supprimer l’injecteur d’un homme n’en fera pas pour autant une vraie femme … tout au plus pourra-t-il jouer à la femme
Appellons les transgenres si vous voulez mais pas “femme” ou “homme” svp
C’est aussi pourquoi les concours doivent êtres distincts : femmes, hommes et transgenres
Excellente décision de la Douma!
Il faut à tout prix préserver la famille traditionnelle, base de la
société jusqu’à ces dernières années.
Les Russes voient les dégâts profonds causés par la casse de la
famille dans nos pays, par le criminel entrisme des assoss lgbt
dans les écoles —ciblant particulièrement les petits enfants.
Liberté ne signifie pas licence.
La Russie, la Hongrie et la Serbie refusent de participer à la déconstruction de la famille et à la promotion d’un néoanthrope.
Sur ce point précis, le Patriarche Kirill de Moscou est plus clair que le pape François.
Il est juste de prétendre que Poutine soutient les valeurs traditionnelles de la famille , première cellule sociale de notre civilisation judéo chrétienne. A ce titre il incarne,comme d’autres pays de l’est européen , une saine réaction aux méfaits de la culture LGBTQ…ambassadrice de la fin de l’humanité.
Une stratégie intelligente de réconciliation mutuelle des pays au sein de l’EUROPE consisterait à tisser des liens de solidarité grâce à sur ces mêmes convictions.
Là ; j’adhère à 100% à la décision de Poutine . Les “autres” nations ont activés la dégénérescence des peuples en prenant des décisions (politiques ) ineptes . Je ne peux m’empêcher de penser que la déchéance morale ronge les sociétés et les mènent vers la perditions et glissent inexorablement vers les égouts de la “bien pensance” .
Oui et c’est un bonne chose.
C’est un peu le propre des sites de propagande américains.,les russe sont les méchants et les américains sont les bons cowboys avec un chapeau blanc? sans doute?
il suffit de lire les bouffonneries de Guy Millière sur la démocratie et l’Otan organisme de paix et de défense pour s’en rendre compte.
Et pourtant en regardant la paille dans l’oeil dans les pays autres qu’eux ils ne voient la poutre dans le leur.
et pourtant l’Amérique n’ a rien que nous pourrions envier!!!
Nihilisme et narcissisme vont de pair. Un environnement socioculturel fluide encourage les individus à “faire ce qu’ils veulent” sans craindre l’opprobre ou la sanction. Les limites sont floues, les contraintes faibles, les modèles qui transmettent le message tacite sont nombreux.
Le mépris des préoccupations des autres (en les ignorant ou, dans les cas les plus extrêmes, en ne reconnaissant même pas leur existence) ; le mépris de l’histoire, de l’arrière-plan, du contexte ; le déni de la réalité tangible elle-même.
Nous sommes proches d’un état qui se rapproche de ce que les psychologues appellent la “dissociation”. Il se caractérise par une incapacité à voir et à accepter les réalités telles qu’elles sont pour des raisons émotionnelles profondément ancrées.
La conséquence la plus évidente et la plus importante est que les Américains seront de plus en plus dépendants du maintien de ce sentiment d’exceptionnalisme et de supériorité qui est le fondement de leur personnalité nationale.
Une psyché fragile, faible en estime de soi et en prouesses, est sensible aux signes de son déclin ou de sa banalité. Il s’ensuit que chaque rencontre conflictuelle est amplifiée, chargée de tout le poids de la campagne compulsive visant à confirmer un sentiment de grandeur nationale désormais mis en péril.
Les Américains s’efforcent de mettre en lumière l’image exaltée qu’ils ont d’eux-mêmes et de la réalité. Ils n’y parviennent pas très bien. Le fossé est profond et ne cesse de se creuser.
L’affaiblissement des prouesses est l’une des choses les plus difficiles à gérer pour l’homme, qu’il s’agisse d’un individu ou d’une nation. Par nature, nous apprécions notre force et notre compétence ; nous redoutons le déclin et ses signes d’extinction. C’est particulièrement vrai aux États-Unis où, pour beaucoup, l’individu et la personnalité collective sont inséparables.
Aucun autre pays n’essaie aussi inlassablement de vivre sa légende que les États-Unis. Aujourd’hui, des événements se produisent qui contredisent le récit américain d’une nation au destin unique. Cela crée une dissonance cognitive.
L’américanisme agit comme une théorie du champ unifié de l’identité personnelle, de l’entreprise collective et du sens durable de la République. Lorsqu’un élément est mis en péril, l’intégrité de l’ensemble de l’édifice devient vulnérable.
Dans le passé, la mythologie américaine a donné au pays une énergie qui l’a aidé à prospérer.
Aujourd’hui, c’est un dangereux hallucinogène qui enferme les Américains dans une distorsion temporelle de plus en plus éloignée de la réalité.
Une volonté de revalidation de la vertu présumée et singulière inspire désormais l’action de l’Amérique dans le monde. D’où l’importance accordée à des slogans tels que “démocratie contre autocratie”. Il s’agit là d’une métaphore précise de la position délicate dans laquelle se trouve l’Oncle Sam ces jours-ci.
Les États-Unis proclament fièrement leur grandeur durable du haut de tous les pupitres et autels du pays, s’engagent à conserver leur place de numéro un mondial pour toujours et à jamais ; pourtant, ils se heurtent constamment à une réalité qui ne leur convient pas.
Un pays qui est “né contre l’histoire” n’a pas de passé pour définir et façonner le présent. Un pays qui est né contre la tradition n’a pas de sens et de valeur enracinés et communs qui pénètrent profondément dans la psyché nationale. Un pays né contre l’héritage d’un lieu et d’une position a laissé chaque individu à la fois libre d’acquérir un statut et obligé de le faire, car les insignes de grade étaient rares.
Les démonstrations de patriotisme ont un caractère artificiel. Elles suggèrent davantage des efforts tendus pour surmonter les doutes qu’une fierté et une conviction authentiques. La confiance nationale n’est pas démontrée par des drapeaux gigantesques que l’on voit partout, des parkings de voitures d’occasion aux motels de luxe, par l’épinglette omniprésente, par les démonstrations bruyantes et voyantes de chauvinisme lors des rencontres sportives, par la grandiloquence des jockeys de choc ou par le traitement dépréciatif et condescendant des autres peuples. Ce sont plutôt des signes de faiblesse, de doute et d’insécurité.
Aucun autre pays n’essaie aussi inlassablement de vivre sa légende que les États-Unis. Aujourd’hui, des événements se produisent qui contredisent le récit américain d’une nation au destin unique. Cela crée une dissonance cognitive.
Le sentiment exalté qu’ont les Américains d’eux-mêmes est ancré dans la croyance qu’ils sont des précurseurs et qu’ils battent le monde dans tous les domaines. La situation décrite ci-dessus – marquée par des entreprises impulsives qui soulignent l’ambition audacieuse et vouée à l’échec de dominer le monde – n’est pas le fruit d’un jugement stratégique lucide.
En d’autres termes, l’antagonisme viscéral à l’égard de la Russie et des Russes que l’on observe aujourd’hui n’a pas de fondement. Chez beaucoup, même au plus haut niveau, l’émotion vire à la haine pure et simple.