Publié par Jean-Patrick Grumberg le 12 juillet 2023

Les résultats d’une nouvelle enquête menée par le journal étudiant de l’université de Brown confirment que l’augmentation de l’identification des LGBT est due à la pression sociale.

Les dernières données montrent qu’entre 2010 et 2023, l’identification en tant que LGB a presque triplé parmi le corps étudiant de Brown (de 14% en 2010 disant qu’ils n’étaient pas hétérosexuels à 38% aujourd’hui). “Le sondage du printemps 2023 du Herald a révélé que 38 % des étudiants ne s’identifient pas comme hétérosexuels, soit plus de cinq fois le taux national, a rapporté le Brown Daily Herald. “Au cours de la dernière décennie, l’identification LGBTQ+ a augmenté dans tout le pays, avec une croissance particulièrement forte à Brown”.

D’autres orientations sexuelles ont connu des augmentations très importantes.

“Depuis l’automne 2010, la population LGBTQ+ de Brown a considérablement augmenté. La population gay ou lesbienne a augmenté de 26 % et le pourcentage d’étudiants s’identifiant comme bisexuels a augmenté de 232 %”, indique le journal étudiant. “Les étudiants s’identifiant à d’autres orientations sexuelles au sein de la communauté LGBTQ+ ont augmenté de 793 %.

L’idée que l’identification LGB est une contagion sous la pression sociale suscite l’admiration des uns, qui y voient des preuves que la société bourgeoise oppresse la vraie nature humaine, mais aussi des craintes et des critiques parmi les universitaires.

Par exemple, le directeur d’une revue universitaire qui a publié un article soutenant la théorie de la dysphorie de genre à apparition rapide a fait l’objet d’une tentative d’annulation, de même que le professeur de l’université Northwestern qui avait rédigé l’article.

Par coïncidence, le Dr Lisa Littman, qui a popularisé l’idée de la dysphorie de genre à apparition rapide, a enseigné à l’université Brown avant d’en être chassée à la suite de la controverse.

Le Dr Littman a fait valoir que certaines filles qui s’identifiaient comme transgenres le faisaient en raison de la pression exercée au sein de leurs cercles sociaux.

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Les recherches du Center for the Study of Partisanship and Ideology ont montré que le comportement sexuel ne suivait pas les changement d’identification sexuelle : le passage de la déclaration à la pratique ne se produit pas, car la déclaration est le résultat des pressions.

En d’autres termes, l’identification bisexuelle dépasse l’activité sexuelle bisexuelle.

“S’il s’agissait de personnes se sentant capables de faire leur coming out, nous aurions dû voir ces deux tendances augmenter en même temps”, a déclaré l’auteur de l’étude. “Ce que nous constatons au contraire, c’est que l’identité augmente beaucoup plus vite que le comportement, ce qui indique que les personnes qui éprouvent des sentiments occasionnels plutôt que durables d’attirance pour le sexe opposé s’identifient de plus en plus comme LGBT”.

Le fait de se déclarer non hétérosexuel est à la mode et remporte l’adhésion de la société

L’idée que la pression sociale joue un rôle dans l’identification au groupe LGB n’est controversée que parce que le groupe est la nouvelle vache sacrée de l’extrême gauche. Demain, se déclarer hétérosexuel sera considéré comme de la haine homophobe et un comportement déviant.

Cependant, l’idée que la pression joue un rôle dans nos comportements et nos modes de vie est reconnue dans d’autres domaines moins controversés. Il s’ensuit que si les adolescents peuvent faire pression les uns sur les autres pour qu’ils participent à certaines actions, ils peuvent aussi s’encourager à s’identifier comme LGB.

Par exemple,

  • l’American Lung Association affirme que le marketing, la pression des amis et le fait de voir ses parents fumer des cigarettes peuvent contribuer à augmenter le taux de tabagisme.
  • L’exemple des parents et amis est également lié à l’abus d’alcool et à la consommation de drogues.
  • A l’inverse, les groupes de soutien peuvent aider les gens trop gros à perdre du poids et même les surendettés à réduire leur endettement.

Mais ce ne sont pas des sujets controversés.

Le résultat de la pression sociale d’extrême gauche qui encourage certaines personnes à s’identifier comme gays, bisexuels ou transsexuels, aura cependant un effet boomerang : ils n’auront pas ou peu d’enfants.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

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