
A l’origine, l’UE était attrayante car elle visait à accroître la prospérité des Européens en créant une vaste zone économique et en récoltant les bénéfices qui en résultaient, selon Unser Mitteleuropa. Cependant, pour diverses raisons, elle ne peut plus tenir cette promesse :
L’UE est confrontée à la concurrence croissante des pays émergents du Sud et de l’Est, qui s’organisent dans le cadre des BRICS. Cela constitue une menace pour l’UE, car ces pays bénéficient d’avantages économiques sans se soumettre à une tyrannie centrale comme l’UE. Il semble que ce ne soit qu’une question de temps avant que ces pays ne dépassent les nations industrielles occidentales en termes d’importance économique, étant donné qu’ils ont rattrapé leur retard technologique.
Pour contrer la tendance à la diminution de la population, l’UE a recours à l’expansion et à l’immigration sans restriction. Mais cela ne donne pas toujours les résultats escomptés, car les immigrés admis sont souvent non qualifiés, ce qui crée de nouvelles dépendances.
L’UE ne peut plus se vendre comme une communauté de prospérité. Au lieu de cela, des “valeurs” sont désormais promues, telles que la lutte contre le CO2 et l’augmentation des restrictions à la prospérité. De nouveaux modes de vie sont également encouragés, visant à modifier les modes de vie urbains et ruraux traditionnels.
Les anciennes valeurs, telles que la propriété, sont abolies et la notion d’identité nationale est abandonnée au profit de la “diversité”. La liberté d’expression est progressivement réduite au profit d’une approbation inconditionnelle des nouvelles idéologies.
Dans l’ensemble, l’UE passe d’une communauté de prospérité à un espace où de nouvelles “valeurs” priment et où les défis économiques se multiplient.
Source : Voice of Europe
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Gaïa pour Dreuz.info.
Apparemment, c’est la première fois dans l’Histoire qu’une civilisation collabore activement à sa propre décadence…