Publié par Magali Marc le 20 août 2023

Hillary Clinton a atteint un sommet d’hypocrisie en qualifiant les tentatives de remise en cause des résultats électoraux de 2020 par Donald Trump d’autoritaires et dictatoriales. Pourtant, elle a elle-même remis en question l’élection de Donald Trump en 2016, le qualifiant à plusieurs reprises de “président illégitime”. Elle n’a jamais tenter de prouver qu’il y avait eu fraude électorale mais en 2017, elle a déclaré qu’elle ne croyait pas qu’elle ou sa campagne aient commis des erreurs importantes. Puis elle a dressé une longue liste d’autres personnes qu’elle tient pour responsables de sa défaite dont la Russie, les “fake news”, l’état lamentable du Parti Démocrate, le sexisme et les médias qui ont couvert le scandale de ses courriels comme s’il s’agissait de l’attaque de Pearl Harbor. (Source: https://www.vox.com/policy-and-politics/2017/5/31/15719342/hillary-clinton-2016-excuses)

Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article d’Eric Utter, paru sur le site d’American Thinker, le 19 août.

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Hillary Clinton se ridiculise sur MSNBC

Hillary Clinton a déclaré, le 15 août dernier, à Rachel Maddow, de la chaîne MSNBC, que les tentatives de remise en cause des résultats électoraux (qu’elle juge légitimes) sont « la marque de dirigeants autoritaires et dictatoriaux ».

Elle a également affirmé que les efforts déployés par les procureurs démocrates pour emprisonner le principal opposant politique du président Joe Biden sont un signe que le « système fonctionne ».

C’est d’autant plus étrange que Mme Clinton “elle-même” a qualifié à plusieurs reprises Donald Trump de “président illégitime” qui a en quelque sorte volé l’élection de 2016 avec l’aide des Russes.

En 2020, l’ex-Première Dame, alors qu’elle participait au podcast “The Ticket” de The Atlantic, a déclaré :

Il y avait une compréhension généralisée que cette élection [en 2016] n’était pas honnête.

Nous ne savons toujours pas ce qui s’est réellement passé.

En fait, on pourrait dire la même chose de l’élection de 2020.
Avant même l’élection de 2020, Hillary a déclaré :

Joe Biden ne devrait en aucun cas concéder (l’élection).

Cela semble être une notion plutôt autoritaire et dictatoriale.

Bien que Mme Clinton ait loué les récentes inculpations de Trump en Géorgie (fondées sur des accusations manifestement forgées de toutes pièces), elle a précédemment et solennellement affirmé que Stacey Abrams aurait battu le Gouverneur républicain Brian Kemp en 2018 « si elle avait eu une élection équitable ».

En 2002, elle a déclaré publiquement que l’ex-président George W. Bush avait été “choisi” président, et non pas élu, en raison de la malfaisance et de la fourberie.

Les Démocrates d’aujourd’hui contestent avec véhémence presque toutes les élections importantes et assez serrées qu’ils perdent.

Leur hypocrisie stupéfiante est révélée dans une vidéo de 24 minutes que vous pouvez visionner ici :

Les Démocrates ne considèrent pas qu’ils sont tyranniques ou dictatoriaux lorsqu’ils remettent en cause les élections… ou souhaitent augmenter considérablement vos impôts, vous dire que votre emploi n’est pas “essentiel”, vous obliger à porter des masques et à rester chez vous, ou vous forcer à accepter un vaccin expérimental à base d’ARNm dans votre corps – à plusieurs reprises.

Ils considèrent comme tyrannique le fait que les Républicains remettent en cause une élection – ou que vous vous présentiez à la réunion du conseil d’administration de votre école locale pour demander que des livres pornographiques soient retirés de la bibliothèque de l’école secondaire où votre enfant étudie.

Je vous pose la question : quelle est la plus grande menace pour “notre démocratie” ?

Les parents soucieux de l’âme de leurs enfants – ou les frontières ouvertes, les guerres sans fin, la décriminalisation du crime, la Grande Réinitialisation, la moquerie des valeurs traditionnelles, le refus de faire la distinction entre masculin et féminin (et encore moins d’apprécier la complémentarité divine), et la dévalorisation de la discipline et de l’excellence ?

Ou encore, Donald Trump demandant la transparence du processus électoral ?

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.

Source : American Thinker

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