Publié par Guy Millière le 7 août 2023

A peine avais-je envoyé pour publication l’article publié il y a deux jours sur Joe Biden et la presse française que le Lavrenti Beria de l’administration Biden, le procureur gauchiste chargé de l’exécution des basses œuvres de l’administration Biden, Jack Smith, annonçait quatre mises en examen supplémentaires pour Donald Trump.

Ces mises en examen sont aussi infondées et monstrueuses que celles qui les ont précédées, mais elles atteignent un degré de délire abject qui montre l’ignominie absolue qui imprègne ces gens. Accuser Trump de « conspiration contre les Etats-Unis » est absolument insensé. Seuls des esprits totalitaires et pervers pouvaient y penser. Les autres accusations sont du même acabit. L’accusation « conspiration contre les droits » s’appuie sur une loi votée il y a un siècle et demi pour combattre le Ku Klux Klan, et jamais utilisée depuis le début du vingtième siècle, et Trump est accusé d’avoir voulu supprimer le droit de vote des électeurs américains par la violence et l’intimidation : rien que çà !

Les accusations concernent les événements du 6 janvier 2021, mai aussi tout ce qui s’est passé au cours des semaines qui ont suivi le premier mardi de novembre 2020.

Elles visent à faire de la contestation d’une élection un crime fédéral, et sous-entendent que le résultat d’une élection doit être accepté sans discuter, même si on a des preuves que l’élection a été frauduleuse. Et elles s’appuient pour cela sur le fait que les juges à qui les preuves de fraudes ont été présentées ont refusé de les prendre en compte (l’acte d’accusation ne dit pas que les juges concernés étaient démocrates, ou menaces par des méthodes mafieuses, bien sûr). C’est ainsi que les choses se passent dans les pays qui glissent vers la dictature.

Les accusations font aussi de la parole politique d’un adversaire du parti démocrate une parole criminelle si elle critique le discours du parti démocrate et des médias à son service, ce qui équivaut à jeter au feu le premier amendement à la Constitution, qui garantit la liberté de parole.

Les accusations présentent la tentative de combattre des fraudes constatées comme une tentative de fraude ! C’est digne du 1984 de George Orwell. La tentative de combattre la fraude est, selon Jack Smith et ceux qui l’ont mandaté, une tentative de fraude !

Les accusations sont une attaque contre la Constitution des Etats-Unis et contre le Bill of Rights.

Un procureur américain digne de ce nom devrait rejeter avec horreur et indignation de telles accusations, mais Jack Smith n’est pas un procureur américain digne de ce nom. Un ministre de la justice digne de ce nom devrait écarter un procureur qui viole la Constitution et le Bill of Rights, mais Merrick Garland n’est lui-même pas un ministre de la Justice digne de ce nom.

Un Président des Etats-Unis digne de ce nom n’aurait jamais nommé Merrick Garland et Jack Smith. Mais Joe Biden n’est pas un Président des Etats-Unis digne de ce nom. Il n’est même pas Président des Etats-Unis, car l’essentiel des décisions ne sont pas prises par lui. Joe Biden est un chef de famille criminelle totalement corrompu, et un homme sénile incapable d’assurer ses fonctions.

Des médias américains dignes de ce nom devraient dénoncer Jack Smith, Merrick Garland, Joe Biden, son administration, mais seuls les médias conservateurs aux Etats-Unis restent des médias dignes de ce nom, et ils sont minoritaires. Les grands médias américains ont cessé d’être des médias dignes de ce nom et sont devenus des organes de propagande au service d’un parti et d’une administration qui font glisser le pays vers la nuit.

La juge qui devra juger l’affaire est Tanya Chutkan, une juge d’extrême gauche noire imprégnée, montrent ses jugements passés, de racisme anti-blanc et d’aversion pour quiconque n’est pas de gauche ou d’extrême gauche. Elle a envoyé en prison des gens qui étaient le 6 janvier 2021 devant le Capitole, simplement parce qu’ils étaient devant le Capitole. Elle a été, avant d’être juge, juriste dans le cabinet Boies Schiller, spécialisé dans la défense du parti démocrate, et qui a compté jusqu’en 2015 comme « conseiller juridique » Hunter Biden!… Elle ne devrait pas être juge. Elle a, en 2014, été nommée juge par Barack Obama, révolutionnaire professionnel au sens léniniste du terme. Elle a déclaré que les émeutes noires et gauchistes de l’été 2020, menées par Black Lives Matter, et qui ont fait des milliards de dégâts avaient été légitimes et essentiellement pacifiques. Le jury sera choisi à Washington, DC, ville où on vote à 92 pour cent démocrate. Les chances que Donald Trump ait un procès équitable à Washington, DC sont très nettement inférieures à zéro, surtout avec Tanya Chutkan en position de juge.

On doit noter que ces mises en examen ont été annoncées le lendemain du jour où des preuves particulièrement accablantes ont été présentées à la Chambre des représentants contre Joe Biden, et ce n’est pas un hasard. Elles servent d’écran de fumée, et sont destinées à ce que les rares journalistes qui parlent des preuves montrant que Joe Biden est un criminel-chef de famille criminelle méritant destitution et prison à vie en parlent bien moins (de toute façon, seuls les journalistes conservateurs parlent de la famille criminelle Biden). Toutes les mises en examen contre Donald Trump ont été annoncées le lendemain de la mise au jour d’éléments accablants pour la famille criminelle Biden.

Il y a six « co-conspirateurs » cités au côté de Donald Trump. Leurs noms ne sont pas dans l’acte d’accusation, mais cinq noms ont été révélés : Rudy Guiliani, John Eastman, Sidney Powell, Jeff Clark, and Kenneth Chesebro.

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Rudy Giuliani est l’ancien maire de New York, et avocat de Trump en 2020. Il est accusé d’avoir dit que l’élection de 2020 était frauduleuse : il aurait dû trahir tout principe éthique, se taire, ou dire que l’élection avait été impeccable, quand bien même il avait toutes les preuves de fraudes, et suivre la ligne du parti démocrate, la ligne dont il ne faut pas s’écarter sous peine de risquer le pire. John Eastman, professeur de droit, est accusé d’avoir élaboré une stratégie pour que l’élection ne soit pas certifiée le 6 janvier : John Eastman a dit à Trump que les grands électeurs dans plusieurs états avaient été choisis en violation de la Constitution, et que Mike Pence devait utiliser l’Electoral Count Act of 1887, donc utiliser une loi en vigueur pour refuser d’entériner le choix non constitutionnel des grands électeurs dans ces états. Il est donc devenu illégal aux Etats-Unis sous l’administration Biden de vouloir faire respecter une loi si le parti démocrate dit que respecter la loi est illégal. Sidney Powell disposait elle-même de preuves de fraudes qui n’ont été prises en compte par aucun juge (pour les raisons que j’énonce plus haut), ce qui est apparemment la preuve que les preuves doivent être considérées comme inexistantes. Jeff Clark était vice-ministre de la Justice de l’administration Trump et a tenté de faire ouvrir une enquête sur les fraudes dès novembre 2020 par le ministère de la Justice. Il s’est heurté au refus catégorique du ministre, William Barr, qui s’est révélé être l’un des ministres félons de l’administration Trump : qu’un vice-ministre de la justice demande l’ouverture d’une enquête, pour des motifs très fondés, est devenu un crime sous l’administration Biden, et William Barr, qui a trahi Trump et la justice, est un héros. Kenneth Chesebro est un juriste : il a supervisé la sélection de grands électeurs républicains qui auraient pu se substituer aux grands électeurs démocrates dans les Etats où les fraudes les plus marquantes ont eu lieu en 2020. Dans toute l’histoire des Etats-Unis, de grands électeurs du candidat déclaré battu sont sélectionnés dans les Etats où le résultat est litigieux, et c’est parfaitement légal. Pour les démocrates, ce qui était légal jusque là est devenu illégal, parce que les démocrates le décident, et les potentiels grands électeurs ainsi sélectionnés sont appelés « faux grands électeurs » dans l’acte d’accusation, expression qu’on retrouve dans les grands médias, et les « faux grands électeurs » sont désormais poursuivis en justice dans plusieurs états. Ils n’ont rien fait, mais ils sont républicains, ce qui semble devenir un crime.

Le commentateur conservateur Mark Levin écrit :

« Des procureurs déchainés s’efforcent de décider de ce que sera le résultat de la prochaine élection présidentielle. Refuser aux électeurs le droit de choisir le prochain président – c’est de cela qu’il s’agit. Les élections de 2020 ont été truquées et ils essaient de jeter Trump en prison avant les élections de 2024 parce qu’ils ne sont pas sûrs qu’ils pourront truquer cette élection-là ».

Daniel Greenfield, autre commentateur conservateur, écrit :

« Traiter comme un criminel quiconque tente de vérifier la validité des résultats d’une élection légitime la fraude électorale. L’acte d’accusation présenté n’est pas simplement anticonstitutionnel, mais vise à remplacer un système politique démocratique par un système de surveillance paranoïaque qui écrase impitoyablement toute menace envers la “démocratie ‘en violant les lois existantes et en cherchant à emprisonner les opposants politiques… Si l’acte d’accusation de Jack Smith aboutit à la moindre condamnation, la liberté mourra, et tout désaccord avec le parti au pouvoir deviendra illégal, et conduira à des arrestations, des procès et des incarcérations. La question à poser d’urgence est : l’Amérique survivra-t-elle ?”

C’est un moment très sombre pour les Etats-Unis. C’est la première fois dans l’histoire des Etats-Unis qu’un chef de famille criminelle est à la Maison-Blanche et c’est la première fois qu’un homme sénile, visiblement touché par la maladie d’Alzheimer est président. C’est la première fois qu’un parti politique arrive au pouvoir par des moyens frelatés et entend y rester en transformant le pays en dictature.

C’est la première fois que la justice américaine est transformée en instrument politique destiné à éliminer les adversaires du parti au pouvoir et à tenter d’éliminer ignominieusement le principal adversaire du président. C’est la première fois qu’un parti politique au pouvoir viole la Constitutin, le Bill of rights et piétine les lois en vigueur.

Jamais depuis la guerre civile (guerre de Sécession) la République américaine, la Constitution, le Bill of Rights n’ont été aussi menacés. Une ombre totalitaire insistante plane sur la première puissance du monde. C’est d’une gravité infinie.

Titre dans Le Figaro : “Trump inculpé pour avoir tenté d’inverser le résultat de l’élection de 2020”. Ce titre relève de la propagande la plus honteuse. Le résultat de l’élection de 2020 a été frauduleusement inversé dans la nuit qui a suivi l’élection. Trump a tenté de mettre au jour les fraudes et elles ont été mises au jour. Des millions d’Américains se sont levés contre les fraudes. Patriotiquement et pacifiquement. Un piège a été tendu par l’Etat profond et les démocrates au Capitole, et le piège s’est refermé. Des centaines de patriotes américains ont vu leur vie détruite. Les médias américains et les autres médias du monde occidental adhèrent unanimement à la ‘verité’ officielle édictée par l’Etat profond et l’administration Biden. L’Etat profond et l’administration Biden sont parvenus à ce que la ‘vérité’ officielle remplace presque totalement la vérité, et maintenant, ils entendent faire de la contestation d’une élection frauduleuse un crime fédéral et une conspiration contre le pays ! Quelle sera la prochaine étape ?

Que quasiment tous les médias américains et tous les médias du monde occidental, dont les médias français, reprennent docilement la ‘vérité’ officielle suscite mon dégout et mon effroi.

Je n’ai plus aucune illusion sur la France et c’est pourquoi j‘en suis parti (je me suis battu en France pour que la France se redresse pendant quarante ans !). Mon dernier livre publié en France, Après la démocratie ?* a fait l’objet d’une action d’élimination de type soviétique par les librairies en ligne françaises.

J’ai choisi les Etats-Unis parce que c’est le pays de George Washington, Thomas Jefferson, Abraham Lincoln, Ronald Reagan, Donald Trump. Que ce pays puisse devenir celui de Barack Obama, Joe Biden et Jack Smith est pour moi un cauchemar. J’y suis infiniment plus libre qu’en France, mais je vois la nuit noire qui vient, et qui pourrait s’installer complètement si, en novembre 2024, un moment de rédemption ne prend pas forme.

En tout, Trump risque 561 ans de prison. Pour des crimes inexistants. La mise en examen la plus grave est celle prononcée à Washington, DC, et c’est à Washington, DC, que le risque d’une condamnation de Trump est le plus grand : le jury sera intégralement composé de démocrates emplis de haine.

On voit la stratégie électorale des démocrates prendre forme : Trump, disent-ils, veut devenir président pour échapper à la prison, alors que c’est un criminel.  Tous les thèmes de campagne seront escamotés et le débat dans tous les médias sera : Trump doit-il aller en prison, ou pourra-t-il échapper à la prison et se gracier lui-même en étant élu. Deuxième volet du débat : si Trump était élu, son élection serait illégitime puisqu’il devrait aller en prison, et il serait légitime que la population se lève contre lui, ce qui ferait courir le risque d’une guerre civile. Autrement dit : votez démocrate et votez Biden si vous voulez éviter la guerre civile. Dire que les démocrates sont monstrueux est bien en deçà de la réalité. Sur CNN et MSNBC, les commentateurs accusent Trump d’être responsable de l’atmosphère pestilentielle qu’ils sont en train de créer, et ils disent que la question centrale du procès sur le 6 janvier est : Trump a-t-il menti sciemment en disant que l’élection de 2020 était frauduleuse, ou croyait-il à ses mensonges ? Le fait qu’il y a eu effectivement des fraudes est, bien sûr, totalement escamoté.

Les divers procès contre Trump devraient avoir lieu entre janvier et mai 2024, donc pendant les élections primaires et la campagne électorale. Il est évident que c’est un pur hasard…

J’ose espérer encore que les crapules totalitaires puantes et mafieuses au pouvoir aujourd’hui aux Etats-Unis seront vaincues avant qu’il soit trop tard.

© Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.

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