Publié par Magali Marc le 19 septembre 2023

La famillle Biden a vendu l’influence de l’ex-vice-président à des acteurs étrangers. Hunter Biden a servi d’homme de main en récoltant des dizaines de millions de dollars en provenance de Chine, d’Ukraine, de Russie, et du Kazakhstan. Il a payé les dépenses de son père Joe et de la famille. Joe a participé à au moins 20 appels téléphoniques de Hunter, clairement impliqué dans le trafic d’influence de son fils à l’étranger. Cela n’empêche pas certains RINOs, les Démocrates et leurs valets dans les médias de prétendre qu’il n’y a aucune preuve de la corruption de Joe Biden!

Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article de Brian C. Joondeph, paru sur le site d’American Thinker, le 18 septembre.

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Destituer ou ne pas destituer ? Telle est la question !

William Shakespeare a écrit dans Hamlet : “Être ou ne pas être : telle est la question“.

Je pose la même question à propos de la destitution du président Joe Biden : destituer ou ne pas destituer ?

Le président de la Chambre des représentants, Kevin McCarthy, a répondu à cette question et le processus avance, du moins en apparence.

Voici ce qu’a dit Hamlet :

Est-il plus noble de souffrir dans l’esprit
La fronde et les flèches d’une fortune scandaleuse,
Ou de prendre les armes contre une mer d’ennuis,
Et d’y mettre fin en s’y opposant ?

Hamlet se demande s’il est préférable de mettre fin à ses souffrances en se suicidant ou d’affronter la fronde et les flèches de la “fortune scandaleuse” en se battant.

Qu’est-ce qui est préférable ?

Les Républicains, surnommés “le parti stupide”, vont-ils bâcler cette affaire et se suicider politiquement en novembre 2024 ? Ou bien vont-ils enfin se donner une colonne vertébrale et s’opposer aux Démocrates et à l’État administratif ?

Je sais comment l’ex-Président Donald Trump répondrait, comme il l’a fait avant même d’être élu président.

Dans un célèbre discours d’octobre 2016, il a promis :

Néanmoins, je prends toutes ces frondes et ces flèches avec joie pour vous.

La destitution de Joe Biden sera-t-elle un succès politique ou conduira-t-elle à une “mer de problèmes” en novembre 2024 ?

Nombreux sont ceux qui ont pontifié sur les mérites et les pièges de la destitution. Quelle est la meilleure voie à suivre ?

Les transgressions du président Biden s’élèvent certainement au niveau des “crimes et délits graves”.

Sa famille a vendu l’influence de l’ex-vice-président à des acteurs étrangers, y compris à des pays peu favorables aux intérêts des États-Unis.

Hunter Biden a soutenu sa famille d’escrocs en servant d’homme de main et en récoltant des dizaines de millions de dollars en provenance de Chine, d’Ukraine, de Russie, du Kazakhstan et d’on ne sait où.

Il a payé les dépenses de son père Joe et de la famille et a intégré dans ses contrats “10 % pour le grand patron“, alias Pops.

Joe a participé à au moins 20 appels téléphoniques de Hunter, et est clairement impliqué dans le trafic d’influence de son fils à l’étranger, malgré ses protestations du contraire.

Joe n’a pas eu à dire quoi que ce soit d’important lors de ces appels.

Le simple fait d’avoir le vice-président américain au bout du fil en disait long sur l’influence que Hunter offrait à ses associés.

Des fonctionnaires de l’Administration Trump ont été poursuivis pour des violations du FARA* (Foreign Agents Registration Act). Mais les membres de la famille Biden ont été exemptés.

Ne vous laissez pas distraire par l’inculpation de Hunter pour possession d’armes à feu, car c’est l’une des rares transgressions qui n’implique pas son père, comme par hasard.

Donald Trump a été inculpé avec une photo d’identité affichée sur tous les médias sociaux. Où est la photo d’identité de Hunter ?

M. Trump a subi une tentative de destitution pour avoir demandé à l’Ukraine d’enquêter sur ce que nous savons maintenant être du trafic d’influence de la famille Biden. Ce qu’il a demandé était réel et il a été mis en accusation pour l’avoir demandé, certains sénateurs républicains ayant même voté en faveur de sa condamnation.

Pourtant, M. Biden bénéficie d’une exemption pour avoir fait ce que M. Trump ne faisait que demander.

Pourquoi les entreprises de la famille Biden ont-elles besoin de plus de 20 sociétés écrans pour cacher et blanchir de l’argent ? Pourquoi les banques ont-elles déposé plus de 150 rapports d’activités suspectes sur les transactions financières de la famille Biden ?

Pour la plupart des observateurs honnêtes, les transgressions de M. Biden sont évidentes.

La mise en accusation devrait donc être un jeu d’enfant, n’est-ce pas ?

Pourtant, certains membres républicains de la Chambre des représentants souffrent de troubles cognitifs ou sont volontairement obtus et ne voient aucune preuve d’actes répréhensibles.

Ken Buck, un Représentant républicain du Colorado, ne voit aucune preuve que M. Biden ait commis un crime ou un délit grave. Il est passé de conservateur du Tea Party à un clone de Mitt Romney, apologiste et complice des Démocrates, sur toutes les chaînes d’information du câble.

En ce qui concerne Mitt, il est d’accord avec Kenny B. :

Je n’ai pas entendu d’allégation qui puisse être considérée comme un crime ou un délit grave.

Heureusement que M. Romney n’est pas candidat à la réélection.

Peut-être que M. Buck suivra son exemple.

Mitt Romney, (Sénateur républicain du Utah), a utilisé son âge de 76 ans comme excuse pour ne pas se représenter. Pourtant. il a l’air en bonne santé et vigoureux, et semble avoir un esprit sain, bien que non conservateur, à des années-lumière de celui de certains de ses collègues du Sénat.

La réalité est qu’il n’aurait pas été réélu et que Donald Trump l’aurait pris pour cible lors de ses rassemblements dans le Utah. Il se décrit lui-même comme un “Républicain de l’aile sage”. En 2012, il était un “conservateur sévère”. En réalité, c’est un Républicain du country club de Rockefeller dont le point fort est de prononcer des discours de concession.

Si la destitution semble être un remède évident au trafic d’influence de la famille Biden à l’étranger, une opération de destitution est souvent mal perçue dans l’opinion publique.

La procédure de destitution n’a pas été lancé contre le président Bill Clinton pour avoir eu des relations sexuelles dans le bureau ovale avec une stagiaire de la Maison-Blanche, contrairement à ce qu’affirment les médias, mais pour parjure lors d’un témoignage devant un grand jury et obstruction à la justice.

M. Clinton est demeuré populaire et George W. Bush a remporté de justesse la Maison Blanche en 2020. Si Al Gore avait appuyé Bill Clinton au lieu de le fuir, il aurait peut-être remporté l’élection.

De même, Donald Trump est plus populaire que jamais après ses deux tentatives de destitutions absurdes, menant désormais le GOP avec près de 50 points, selon un récent sondage de Fox News.

Joe serait-il plus populaire après une tentative de destitution ?

Si elle se poursuit, elle deviendra un enjeu majeur de la campagne électorale.

La Chambre des représentants pourrait-elle destituer Joe Biden ?

Les Républicains y disposent d’une majorité de 10 sièges. Si l’on enlève quelques républicains faiblards comme le député Buck, le GOP n’aura pas les voix nécessaires pour une destitution.

Contrairement aux Démocrates qui sont unis en tant que parti, le GOP est rempli de non-conformistes qui préfèrent donner des signaux de vertu et auditionner pour de futurs postes dans les journaux télévisés plutôt que de tenir compte de ce que veulent leurs électeurs.

Le Sénat est encore pire, puisqu’il exige une majorité des deux tiers pour une destitution.

Non seulement, les Républicains sont minoritaires au Sénat, mais les Républicains à la langue bien pendue comme MM. Romney, Mitch McConnell, Mme Lisa Murkowski et d’autres ne voteront probablement pas pour destituer Joe Biden, quelles que soient les preuves.

Alors pourquoi s’en préoccuper si la mise en accusation est douteuse et la condamnation impossible ?

La principale raison est que les commissions de destitution de la Chambre des représentants disposeraient désormais d’un plus grand pouvoir d’assignation à comparaître.

Le Congrès peut citer des personnes à comparaître à des fins législatives.

La surveillance générale n’entre peut-être pas dans cette catégorie selon certains juges de gauche. Mais la destitution est un processus législatif prévu par la Constitution.

Il est temps d’examiner les relevés bancaires et téléphoniques de la famille Biden, ainsi que les efforts déployés par le FBI et le Ministère de la Justice (DOJ) pour les dissimuler et laisser dans l’ombre leur obligation d’enquêter et d’appliquer la loi de manière égale et équitable.

La lumière du soleil est le meilleur désinfectant avant les élections et c’est le moment idéal pour tout révéler.

Vers qui mèneront les discussions concernant les magouilles et le trafic d’influence des Biden ? Vers les Clinton ? Vers les Obama ?

Que savait Barack Obama du trafic d’influence et de la corruption de son vice-président et quand l’a-t-il su ?

Des révélations pourraient gêner Mme Michelle Obama qui, selon les rumeurs, serait la candidate démocrate restée dans l’ombre, pour 2024, comme l’explique de manière convaincante le cinéaste Joel Gilbert.

Les Démocrates vont hurler contre l’« impeachment », en prétendant, comme les Républicains Romney et Buck, qu’il n’y a “pas de preuves”.

La Maison Blanche a donné à ses sycophantes des médias l’ordre de marche qui consiste à “augmenter l’examen” des accusations de destitution, en d’autres termes, de faire leur devoir envers le Parti Démocrate en s’interposant plutôt qu’en rapportant les nouvelles.

Les Républicains ne devraient-ils pas laisser Biden errer à sa perte ?

S’il n’y avait pas d’enquête de destitution, le GOP perdrait son pouvoir d’assignation et le gouvernement, aidé par les médias, enterrerait toutes les histoires négatives concernant la famille Biden. Tout comme ils l’ont fait avec l’ordinateur portable de Hunter Biden.

L’État profond administratif est manifestement inquiet de ce qui pourrait résulter de ces révélations. La CIA, par l’intermédiaire de ses porte-parole David Ignatius et le Washington Post, demande au président Biden de ne pas se présenter en 2024.

Ils doivent avoir une idée des révélations à venir, au-delà de l’escroquerie et des finances de la famille Biden, peut-être des biolabs ukrainiens financés par les sociétés de Hunter ou d’autres activités familiales gênantes ?

Imaginez que la famille Biden soit liée à la pandémie du coronavirus ou à la guerre en Ukraine.

Ils veulent prendre de l’avance sur cette affaire, car les révélations ultérieures conduiront probablement à la CIA, au FBI et aux Obama. Il n’en est pas question. Les Biden peuvent être sacrifiés, pas l’État profond.

Laissons l’enquête de destitution commencer.

Montrez les preuves du trafic d’influence et de la corruption de la famille Biden et de tout ce qui peut en découler.

Lorsque la chaleur deviendra trop forte dans les cuisines des Obama et des Clinton, ne soyez pas surpris de voir Joe envoyé définitivement à sa maison sur la plage par le biais du 25e amendement, suivi rapidement d’une grâce de la présidente Kamala Harris à l’ensemble de la famille Biden.

Lorsque Joe deviendra un sujet de discussion concernant les perspectives électorales de 2024, laissez les Démocrates jouer les hommes de main en se débarrassant de Joe, Jill, Jim et Hunter, à la manière de Tony Soprano, pour qu’on n’entende plus jamais parler d’eux, libres de vivre une vie de luxe avec leur argent mal acquis.

Jusqu’à présent, la famille criminelle Biden a été épargnée. N’attendez pas du FBI et du DOJ qu’ils fassent leur travail. Ils ne représentent plus la justice, mais la police privée du Parti Démocrate.

Les Républicains sont le dernier espoir de redresser ce “système d’injustice”, faute de quoi l’Amérique continuera de sombrer dans un État policier totalitaire à parti unique.

Mettre en accusation ou ne pas mettre en accusation ?

La réponse est simple. Les Républicains doivent faire face à la fronde inévitable, car c’est pour cela qu’ils ont été élus.

S’ils ne sont pas disposés à le faire, alors éteignez les lumières du Parti Républicain et de la grande expérience américaine.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.

Source : American Thinker

* Le Foreign Agents Registration Act (FARA) est une loi des États-Unis adoptée en 1938. Elle exige que les agents représentant les intérêts de puissances étrangères à titre « politique ou quasi politique » divulguent leurs relations avec le gouvernement étranger et des informations sur les activités et les finances connexes.

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