
La Maison-Blanche a envoyé des “points de discussion” aux médias afin qu’ils “examinent” l’enquête sur la destitution dans leurs reportages. Dans une lettre étonnante, des responsables de l’Administration Biden se plaignent des Républicains et affirment qu’ils répandent de la désinformation tandis que la lettre elle-même diffuse une information disant que le GOP n’a montré “aucun lien” avec Joe Biden. C’est vrai, si on oublie les appels téléphoniques, les courriels, les textes et les témoignages. Ils exigent que les médias suivent la propagande qu’ils veulent diffuser et de fait, la plupart des médias ne font que répéter comme des perroquets le discours des Démocrates. Ils n’ont même pas pris la peine de se pencher sur ces choses qui sont pourtant connues depuis des années.
Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article de D. Parker, paru sur le site d’American Thinker, le 13 septembre.
Devenez “lecteur premium”, pour avoir accès à une navigation sans publicité, et nous soutenir financièrement pour continuer de défendre vos idées !
En tant que lecteur premium, vous pouvez également participer à la discussion et publier des commentaires.
************************************
Trump ? Un dictateur ! Biden ? N’y songez même pas !
Le magazine en ligne Salon affirme que Donald Trump se comportera comme un dictateur parce qu’il a parlé de ce que Biden fait.
Ainsi Joe Biden ne serait pas un dictateur selon leurs critères et ne devrait pas démissionner ?
Salon prétend être “pro-démocratie, pro-égalité, pro-justice et pro-vérité”.
Comme toutes les médias gauchistes, ils veulent choisir les vainqueurs à la place des électeurs, c’est l’idée tordue que ce magazine se fait de la “démocratie”. Pour rappel, il s’agit de la publication “pro-vérité” qui a affirmé un jour que « les Républicains prétendent craindre l’autoritarisme de gauche – mais cela n’existe pas ».
Alors que cette publication “pro-vérité” est tout à fait favorable à la persécution des ennemis politiques de l’extrême gauche fasciste, la discussion sur le retour de la faveur avec la famille criminelle corrompue de Biden les amène à projeter ceci comme résultat :
Trump prévoit devenir un dictateur – le déni ne vous sauvera pas
Donald Trump est un dictateur en puissance. Comme d’autres dictateurs, il menace de mettre ses “ennemis” en prison – et de leur faire subir des choses encore pires. Il ne s’agit pas de menaces en l’air ou d’actes d’idéation vides de sens : Donald Trump est un homme violent, un ennemi avéré de la démocratie et de la liberté. Ces menaces de violence à l’encontre de ses ennemis s’inscrivent dans un schéma beaucoup plus large de comportement violent et dangereux qui ne fait qu’empirer à mesure qu’il est confronté à des procès criminels et à la possibilité d’aller en prison pour des centaines d’années. Dans l’exemple le plus récent, Donald Trump a déclaré à Glenn Beck, lors d’une interview la semaine dernière, qu’il allait mettre le président Biden et d’autres “ennemis” en prison lorsqu’il prendrait possession de la Maison Blanche en 2025.»
“Menacer de mettre ses “ennemis” en prison” est une expression qui vous est familière, n’est-ce pas ? Surtout si vous avez consulté les médias socialistes du pays ces derniers mois ou si vous avez vu la photo d’identité (de Donald Trump) dont l’extrême gauche fasciste voudrait faire croire qu’elle n’existe pas.
Il s’agit d’un cas classique où les médias nationaux socialistes dépassent largement leurs limites, parce qu’ils perdent collectivement la tête pour de simples paroles.
Leurs frères travaillent activement à la réalisation de ce qu’ils dénoncent. Cela ne fait-il pas de Biden un dictateur selon les critères de Salon ?
Après tout, il s’agit d’une publication “pro-vérité”, qui devrait donc condamner Herr Biden de la même manière, ou est-ce le fameux double standard “démocrate” qui est à l’œuvre ?
Peut-être pouvons-nous aider les gens de Salon et confirmer leur évaluation de la situation en examinant les actions typiques des dictateurs pour voir si elles correspondent à celles du régime Biden.
Les dictateurs agissent généralement de leur propre chef par le biais d’actions exécutives, telles que l’achat de votes par Joe Biden au moyen de prêts étudiants remboursés avec l’argent des contribuables.
Les dictateurs suppriment souvent les droits de l’homme, la liberté d’expression et la liberté de la presse.
Joe Biden doit son élection à la suppression dans la presse complaisante de l’histoire de l’ordinateur portable de Hunter Biden et à sa volonté de créer un Ministère de la vérité.
Tout cela semble dictatorial, n’est-ce pas ?
Les dictateurs utilisent souvent une crise pour renforcer leur pouvoir – l’incendie du Reichstag dans un cas, l’exploitation continue d’une manifestation de quatre heures dans un autre.
Enfin, la principale priorité de tout dictateur : enregistrer, taxer et confisquer les armes à feu.
C’est l’obsession de M. Biden et de tous les gauchistes depuis l’invention des pistolets à roulette.
Il semble que, selon les critères de Salon, M. Biden soit un dictateur.
Cette publication non partisane, favorable à la démocratie et à la vérité ne devrait-elle pas réclamer sa mise en accusation et sa destitution ?
Si l’on se réfère à ses autres articles, on a la nette impression que Salon se moque de ce que nous pensons.
Selon ses propres critères, Biden est un dictateur, assisté par le reste de son régime. Mais ces gens s’en moquent.
Une phrase d’Alexandre Soljenitsyne me vient à l’esprit : « Pour faire le mal, un être humain doit d’abord croire que ce qu’il fait est bien ».
Ils croient qu’ils font le “bien”, alors peu importe s’ils font le mal – même de temps en temps.
Comme l’a récemment écrit Andrea Widburg [Rédactrice en chef adjointe d’American Thinker], « depuis 1791, le monde n’a jamais cessé de lutter contre ces deux révolutions : La liberté individuelle contre “mon parti devient le nouveau tyran” ».
Ils ont gagné, par la ruse ou par l’escroquerie, et c’est donc à eux d’être le nouveau tyran – en remplissant les blancs pour justifier pourquoi ils doivent garder une emprise mortelle sur le pouvoir.
Ils ont rationalisé et se sont convaincus que le Président Trump est une menace existentielle ou quelque chose comme ça, alors ils ont le droit de faire n’importe quoi pour l’arrêter.
Cela signifie qu’ils sont extrêmement dangereux et cela les place du mauvais côté de l’histoire.
PS : Dan Bongino a réagi aux dénis des Démocrates en écrivant sur X (Twitter) :
Les Démocrates ont raison :
En dehors des relevés bancaires, de la déclaration d’activité suspecte, des virements bancaires, des transactions bancaires privées, des SARL, des textes, des courriels, des messages WahtsApp, des photos de Joe avec les partenaires commerciaux de Hunter, des messages vocaux adressés à son fils, des deux partenaires commerciaux disant que Joe est la “marque”, le “Big Guy” et le “chairman”, le témoignage des deux dénonciateurs, les appels téléphoniques enregistrés entre Joe Biden et Petro Poroshenko, la vidéo de Joe Biden se vantant d’avoir renvoyé le procureur ukrainien, et les déclarations de Hunter selon lesquelles il donne à son père la moitié de ses revenus, il n’y a AUCUNE preuve de l’implication de Joe Biden. Bien vu les gars! »
https://twitter.com/dbongino/status/1701946275720008141/photo/1
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.
Source : American Thinker
On peut se demander à quoi sert toute cette agitation, quand, par ailleurs, à l’occasion d’une récente rencontre internationale, Joe Biden s’est trouvé incapable de prononcer un discours rationnel et a rendu le monde entier témoin d’une ‘confusion mentale’ dont les journalistes présents ont bien été obligés de rendre compte à leurs lecteurs (américains ou autres) , détruisant à la racine, mieux que n’importe quelle conspiration complotiste, toute possibilité pour l’interessé de continuer à gérer l’avenir des U.S.A…?