La dictature marxiste de Daniel Ortega au Nicaragua se déchaîne contre l’Église catholique de son pays.
La dernière mesure prise par le gouvernement autoritaire a été d’organiser une prise de contrôle hostile d’une grande université jésuite, d’expulser six des prêtres, de rebaptiser l’école et de transformer complètement tout ce qui concerne l’université. L’université a annulé les cours et les procédures administratives après qu’un tribunal pénal a transféré les biens et les finances de l’université au gouvernement, a rapporté Al Jazeera.
Le dirigeant marxiste a qualifié l’université de “centre terroriste” pour justifier la prise de contrôle, affirmant que l’école élevait des radicaux antigouvernementaux.
Puis le gouvernement d’Ortega s’est emparé de l’école, le 15 août dernier, et a changé son nom en “Université nationale Casimiro Sotelo Montenegro”, en l’honneur d’un leader étudiant assassiné des sandinistes, un groupe marxiste-léniniste lié au gouvernement.
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Des anciens élèves, des dirigeants catholiques et même les Nations unies ont protesté sur X et exprimé leurs critiques à l’égard de la prise de contrôle et de la liquidation de l’université. Mais on n’arrête pas un dictateur avec des mots sur X.
C’est un pas de plus pour les marxistes vers l’élimination de toute influence catholique et chrétienne dans le pays, et à petite dose, c’est exactement ce qu’on voit en Europe et aux Etats-Unis chez les socialistes et les progressistes, et que l’on verra demain en Russie lorsque les dirigeants politiques seront fatigués de leurs hypocrites courbettes.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Et..parmi les protestataires, a t on trouvé le Pape François ?