La femme du président Raïssi, Jamileh Alamolhoda était présente à New York pour l’Assemblée générale de l’ONU.
Lors d’une interview pour NewsWeek, elle a déclaré :
« Les femmes en Iran ne se battent pas pour leurs droits, parce qu’elles bénéficient de tous leurs droits. Et c’est parce que les hommes protègent leur dignité dans la société. »
L’épouse du président iranien a également défendu une loi adoptée cette semaine visant à imposer des peines plus sévères aux femmes qui ne portent pas le hijab en public, comparant les règles à des “codes vestimentaires partout” dans une interview accordée à l’émission “This Week” de la chaîne ABC.
La loi a été votée “par respect pour les femmes”, a déclaré M. Alamolhoda. “C’est naturel dans n’importe quel pays. Il peut y avoir des différences d’opinion et de points de vue sur les codes vestimentaires. Cela revient à leurs goûts, à la façon dont elles choisissent de vivre leur vie et à leurs droits sociaux”.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Devenez “lecteur premium”, pour avoir accès à une navigation sans publicité, et nous soutenir financièrement pour continuer de défendre vos idées !
En tant que lecteur premium, vous pouvez également participer à la discussion et publier des commentaires.
Effrayant le mode de pensée des décideurs religieux iraniens … “les femmes ont tous les droits mais doivent obéir au code vestimentaire islamique que les hommes leur imposent pour qu’elles conservent leur dignité”
C’est surnaturel ce que l’islam insère dans le cerveau de ces islamisés
Selon cette femme indigne, les iraniennes ont surtout le droit de se taire et d’obéir, ou de subir les sanctions allant jusqu”à la torture ou la peine de mort.
On ne peut tout de même pas attendre un autre discours de la part de l’épouse du Président !!! C’est cousu de fil rouge !
Bien naifs sont ceux qui s’en étonnent…(?)
Cette femme a raison dans la mesure où elle base son affirmation sur les préceptes du coran et de la sharia, selon lesquels le rôle de la femme (“sa dignité”, comme elle dit) consiste à se soumettre aux mâles, à fermer son clapet et à faire des enfants. Il est vain de tenter d’évaluer les deux mondes – l’un barbare régi par la peur et la raison du plus fort, l’autre issu de la civilisation judéo-chrétienne, selon les mêmes critères.
Beaucoup de pseudo féministes dites néo féministes sont d’accord avec elles. En cause, le postulat selon lequel les valeurs de notre civilisation n’ont rien d’universel ou si elles se revendiquent comme tel, c’est un néo colonialisme déguisé visant à imposer nos référentiels à des cultures qui ont les leurs.
De là déroulent le relativisme et l’acceptation de la pédophilie, de l’excision, du voile et pourquoi pas du cannibalisme…