
Nathan Koenig, un Israélien secouriste volontaire de l’organisation ZAKA, évoque ce que lui et son équipe ont découvert lorsqu’ils sont arrivés dans les kibboutz le long de la frontière de Gaza qui ont été attaqués par les terroristes du Hamas.
“Je suis bénévole pour ZAKA depuis 27 ans. Cette semaine, j’ai vu les morts et j’ai pleuré pour la première fois de ma vie. Je ne sais pas comment l’expliquer. Cela ne tient pas debout que ce soit des gens qui aient fait ça. J’ai déjà vu des choses difficiles dans ma vie, mais je n’ai pas de mots pour décrire ce qui s’est passé au kibboutz Be’eri.
Je n’ai jamais vu un être humain capable de faire ce qu’ils ont fait. ils ont torturé les gens pendant des heures. Il y avait des centaines de maisons là-bas. Quand les gens ne pouvaient pas être abattus avec leurs mains, ils étaient brûlés, et ils ont suffoqué à cause de la fumée, comme dans une chambre à gaz”
Selon Koenig, “il n’y a plus une personne dans la rue, seulement des cadavres.
Des chiens ont également été tués. Chez ZAKA, nous avons l’habitude de traiter des incidents tels que des accidents de voiture. J’ai regardé et je n’arrivais pas à y croire. Peut-être devrions-nous montrer aux gens ce qu’ils ont fait.”
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Koenig a également fait part des difficultés rencontrées dans le processus d’identification, les morts étant défigurés au point d’être méconnaissables.
“Ceux qui ont fait ça ne sont même pas des animaux, c’est autre chose”
Le Dr Ron Azaria, appelé à la morgue de Ramlé pour aider à trier les corps, a déclaré au média israélien Ynet:
“J’ai eu l’impression d’entrer dans une machine à remonter le temps et de voyager jusqu’en 1945, l’année de la libération des camps de concentration. C’était un spectacle inhumain, impossible à croire. Je n’ai pas de mots pour décrire ce que j’ai vu là-bas. Ceux qui ont fait ça ne sont même pas des animaux, c’est autre chose”.
Le Dr Azaria se trouvait à la morgue de Ramlé lorsque le camion transportant les corps de 50 enfants est arrivé. Après son travail, il s’est rendu à la mer et y a plongé : “J’ai réalisé que j’avais besoin de cela pour laver le mal que j’avais vu”.
Jusqu’à présent, 1 300 citoyens ont été massacrés en Israël depuis le début de la guerre, dont plus d’un millier de civils. La plupart sont des jeunes qui participaient à un festival de musique, et ont été exécutés de manière identique au Bataclan en France.
Et de nombreux habitants ont été torturés et violés avant de mourir.
Mercredi, le président Biden a déclaré avoir vu des images d’enfants décapités lors d’une réunion avec des dirigeants juifs à la Maison Blanche.
“Je n’ai jamais imaginé que je verrais ça, que j’aurais la confirmation, des images de terroristes décapitant des enfants”, a déclaré M. Biden, qui a qualifié l’attentat de samedi de “jour le plus meurtrier pour les juifs depuis l’Holocauste”.
La Maison-Blanche a depuis corrigé les propos de Biden, disant qu’il n’a pas personnellement vu les images.
Le porte-parole des forces de défense israéliennes, le major Libby Weiss, a déclaré : “le degré de dépravation est obsédant”.
Weiss a déclaré à CBS News que plus d’un des soldats israéliens qui sont arrivés les premiers au Kibboutz Kfar Aza, près de la frontère, ont déclaré avoir trouvé “des enfants décapités d’âges divers, allant de bébés à des enfants un peu plus âgés”, ainsi que des adultes qui ont été démembrés.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Aurons-nous le même conscencius européen et l’aide militaire que celui de L’ukraine pour les israélien?
J’ai entendu et lu tellement de déclarations que j’en doute
J’étais réservée sur le fait de montrer les photos ou vidéos des charniers découverts. Je considérais que c’était le choix de chacun de les diffuser, et le choix de chacun d’aller les voir. Mais là, je suis en colère, à cause de la volte-face de Biden. Et le négationnisme arrive plus vite qu’après 1945. Subitement, il y en a pour trouver Biden sénile, donc influencé par le narratif des Israéliens. J’ai vu une partie de la conférence des Franco Israéliens et j’ai entendu la question d’une journaliste sur les bébés décapités : les avez-vous vu, a demandé innocemment la journaliste de France TV ? Elle n’a pas envie de croire en l’horreur du hamas. Il faut diffuser, avec un avertissement, à chacun de décider de voir ou pas. Mais vu qu’en plus les médias sont déjà passés au narratif de la “pauvre Gaza”,…
Le General Eisenhower dans camp de concentration en 1945, en Allemagne où les corps des suppliciés avaient été déposés à même le sol par les habitants du village voisin qui avaient été obligé à venir faire la sale besogne, il a eu cette phrase, de mémoire, je veux que les journalistes voient ce que les nazis ont fait pour pas que des salauds ne viennent pas dire un jour que cela n’a jamais existé. A la journaliste de France TV , ce serait bien qu’on lui montre les photos des charniers des personnes suppliciées par ces terroristes sans âme du Hamas pour qu’elle en fasse des cauchemars.
Je suis entièrement d’accord avec les deux derniers commentaires! Il faut absolument diffuser ces images. Les regarderont qui veut, mais qu’on ne puisse pas dire que ça n’existe pas !
J’ai entendu hier une palestinienne prénommée Falestin ( toutun programme ! ) vivant à Gaza et téléphonant aux “auditeurs ont la parole” de RTL. Elle ne pouvait absolument pas croire au massacre des femmes et des enfants. Pour elle, c’était IMPOSSIBLE, impossible que le hamas ait fait ça ! Et je pense qu’elle était sincère.
Je suis très partagé sur la pertinence de montrer ces images. Je n’ai pas l’estomac pour les regarder, mais en même temps je n’ai qu’une envie : que les manifestants pro palestiniens qui vocifèrent dans les rues partout dans le monde en ce moment se les prennent en pleine face. Ces atrocités me glacent le sang et je ne supporterais pas qu’on m’impose de les regarder, et pourtant je suis prêt à reconnaître l’impérieuse nécessité de forcer le plus grand nombre à ouvrir les yeux sur cette diabolique sauvagerie, quitte à traumatiser. En revanche c’est peine perdue pour tous ceux qui n’ont plus une once de compassion et qui se repaissent de la violence à l’état brut.
Une photo apparemment posté par le premier ministre Israelien montrant les bébés brulés et décapités dans leurs berceau circulent sur twitter . La photo est floutée mais pour ceux qui ont le courage , il est possible d’enlever le floutage .
Le négationnisme de la part des islamo gauchistes va bon train . C’est malheureux mais il faut en arriver là pour prouver que ça s’est bien produit .
https://x.com/IsraeliPM/status/1712471782303867144?s=20
Une engeance exécrée et méprisée depuis l’Ancien Testament, une crasse hideuse, vile, conçue pour être éradiquée de la plus cruelle et brutale manière qui soit, tant d’un point de vue propédeutique que prophylactique.
Il faut, bien évidemment, montrer. Et diffuser le plus largement possible. Qu’est-ce qu’un peu d’affliction et de chagrin dans l’esprit et le coeur des observateurs de ce répugnant massacre comparativement à ce qu’ont vécu les victimes ? Rien. Pire : le fait que certains veuillent s’épargner ces images, qui sont aussi un témoignage de la nécessité de terminer l’engeance coupable, est une forme de complicité, au minimum par lâcheté. En tant qu’être humain, nous devons aux victimes de scruter cette horreur dans les moindres détails. Puis, en connaissance de cause, nous leur devons de prendre des décisions.