
John Kelly, l’ancien chef de cabinet du Président Donald Trump, à la Maison Blanche, a commenté sur CNN son nouveau livre dans lequel il reproche à son ancien patron d’avoir dit des choses méchantes à huis clos. Selon M. Kelly, Donald Trump aurait fait en privé des déclarations méprisantes envers les militaires qui ont servi lors de la Première Guerre Mondiale. Victor Davis Hanson, un historien militaire et commentateur politique fréquent sur Fox News, a vertement dénoncé les propos mensongers de l’ex-général.
Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article de Jim Hoft, paru sur le site de The Gateway Pundit, le 4 octobre.
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Un général pleurnichard et renégat a écrit un nouveau livre sur des paroles méchantes que Donald Trump aurait prononcées en privé – Victor Davis Hanson lui administre une raclée verbale bien méritée
John Kelly, l’ancien chef de cabinet du Président Donald Trump, à la Maison Blanche, est en train d’écrire un nouveau livre dans lequel il reproche à son ancien patron d’avoir dit des choses méchantes à huis clos.
Ces mots méchants étaient beaucoup trop durs pour les oreilles sensibles du général. C’est un nouveau coup bas venant de Judas Kelly. Selon un reportage de CNN :
« John Kelly, le plus ancien chef de cabinet de Donald Trump à la Maison-Blanche, a formulé sa critique la plus sévère à l’égard de l’ancien président dans une déclaration exclusive à CNN.
M. Kelly a remis les pendules à l’heure en confirmant un certain nombre d’histoires accablantes sur les déclarations que M. Trump a faites à huis clos et qui attaquaient les membres des forces armées américaines et les anciens combattants, énumérant un certain nombre de commentaires répréhensibles que M. Kelly a vu M. Trump faire de ses propres yeux. “Qu’est-ce que je peux ajouter qui n’a pas déjà été dit ?”, a répondu M. Kelly à la question de savoir s’il souhaitait s’exprimer sur son ancien patron à la lumière des récents commentaires formulés par d’autres anciens responsables de M. Trump.
Une personne qui ne voulait pas être vue en présence de militaires amputés parce que “ça ne me va pas”. Une personne qui a fait preuve d’un mépris ouvert pour une famille Gold Star – pour toutes les familles Gold Star – à la télévision pendant la campagne de 2016, et qui a fulminé que nos héros les plus précieux qui ont donné leur vie pour la défense de l’Amérique sont des “perdants” et qu’ils ne se rendraient pas sur leurs tombes en France. »
« Une personne qui ne dit pas la vérité concernant sa position sur la protection de la vie à naître, sur les femmes, sur les minorités, sur les chrétiens évangéliques, sur les juifs, sur les hommes et les femmes qui travaillent », a poursuivi M. Kelly.
« Une personne qui n’a aucune idée de ce que représente l’Amérique et qui n’a aucune idée de ce qu’est l’Amérique. Une personne qui suggère cavalièrement qu’un guerrier désintéressé qui a servi son pays pendant 40 ans en temps de paix et en temps de guerre devrait perdre la vie pour trahison – dans l’espoir que quelqu’un prenne des mesures. Une personne qui admire les autocrates et les dictateurs meurtriers. Une personne qui n’a que du mépris pour nos institutions démocratiques, notre Constitution et l’État de droit. »
M. Kelly a une fois de plus répandu le mensonge selon lequel le Président Trump s’est moqué des héros américains morts pendant la Première Guerre mondiale, ce que même l’anti-Trumper John Bolton a démenti.
Il convient de noter que les anciens généraux Mark Milley, John Kelly, Jim Mattis et H.R. McMaster ont tout fait pour saboter le Président Trump pendant son Administration.
Mark Milley appelait même les Chinois pour leur donner des tuyaux au cas où une guerre serait imminente. Pour une raison quelconque, ces hommes n’ont jamais été inculpés pour leurs crimes.
Victor Davis Hanson a servi au général John Kelly une raclée bien nécessaire suite à ses récentes attaques contre le Président Trump.Victor Davis Hanson a écrit sur Twitter-X :
« Soudain, trois ans plus tard, un certain nombre d’anciennes personnalités nommées par Trump expriment leur colère – certaines sur la lancée de promotions potentielles ou réelles, ou en colère à cause de licenciements, ou de leur propre exposition juridique – rejouent toutes les choses soi-disant atroces que Trump leur a dites en privé entre 2017 et 21. Si, en fait, elles sont exactes, alors il s’agit certainement de choses atroces à dire, même en privé, et qui n’auraient jamais dû être prononcées par un président. Mais ce qui est mystérieux dans leur indignation, ce sont trois autres considérations dont nous n’entendons pas parler de la part de ces critiques désormais très publiques :
1) N’y a-t-il pas une différence entre une fanfaronnade atroce en privé et l’instrumentalisation et la destruction méthodiques de nos institutions en public ? Ces critiques peuvent-ils au moins dire qu’ils déplorent l’instrumentalisation du FBI (par exemple, la passation de contrats avec l’ancien Twitter pour supprimer les informations, le mensonge avoué sous serment de son directeur intérimaire Andrew McCabe, l'”amnésie” commode à 245 reprises de James Comey lorsqu’il était sous serment, et la fixation actuelle du bureau sur les parents lors des réunions des conseils scolaires, les catholiques traditionnels et les activistes pro-vie) ? Ou la corruption de nos responsables du renseignement qui ont été impliqués jusqu’au cou dans la fraude de “51 anciennes autorités du renseignement” qui ont volontairement menti, à l’invitation de l’actuelle Secrétaire d’État, au sujet d’un ordinateur portable – délibérément pour influencer un débat présidentiel et l’élection ? Ou le canular de la collusion qui a été monté par la campagne Clinton, avec l’aide du FBI, du DOJ et de la CIA ? Ou encore deux de nos plus hauts responsables du renseignement qui ont menti sous serment, comme MM. Brennan et Clapper ? Tout cela ne représente-t-il pas un danger pour la démocratie ? Ou encore la politisation du Ministère de la justice qui était prêt à exempter, à l’exception d’un courageux juge dissident, Hunter Biden et, par extension, le clan Biden d’un véritable danger juridique. N’était-ce pas une erreur en 2020 pour les officiers 4 étoiles à la retraite d’attaquer publiquement et en termes venimeux leur commandant en chef ? Si ce n’est pas le cas, pourquoi existe-t-il une loi dans le code uniforme de la justice militaire qui l’interdise ?
2) En ce qui concerne les “dangers pour la démocratie”, certains ne peuvent-ils pas au moins citer les changements radicaux apportés aux lois électorales dans des États clés en 2020 sous le couvert du coronavirus, ou l’injection de 419 millions de dollars par Mark Zuckerberg pour s’approprier le travail des responsables de l’enregistrement et du vote dans des États clés ? Ou encore la “cabale” et la “conspiration” visant à assurer la victoire de Joe Biden en 2020, dont s’est vantée avec des détails stupéfiants la rédactrice gauchiste du Time Molly Ball ? Qui a tenté d’annuler des prêts étudiants sans passer par un vote du Congrès, ou qui a drainé une grande partie de la réserve stratégique de pétrole dans le seul but de stimuler l’approbation des électeurs avant les élections de mi-mandat ? Ou l’effort de la gauche en 2016 pour faire pression sur les grands électeurs afin qu’ils ne votent pas conformément à leurs responsabilités constitutionnelles et qu’ils fassent basculer l’élection en faveur d’Hillary Clinton ?
Ne peuvent-ils pas au moins citer les 120 jours de pillages, d’émeutes, d’incendies criminels, d’attaques contre les forces de l’ordre et de morts qui ont été largement exemptées de sanctions – une violence qui a inclus une tentative de prendre d’assaut l’enceinte de la Maison Blanche pour atteindre un président, et l’incendie d’un commissariat de police, d’un tribunal fédéral et d’une église emblématique de Washington ?Ou ne peuvent-ils pas déplorer les menaces macabres proférées en 2015-17 par des célébrités à l’encontre de la personne de M. Trump (décapitation, fusillade, coups de couteau, incinération, explosion, etc.) Qu’avait réellement fait Donald Trump dans les premiers instants de son mandat, alors que les émeutiers de Washington devenaient fous furieux pendant l’inauguration et que Madonna hurlait qu’elle voulait faire exploser la Maison Blanche ? Qu’avait-il fait au cours de ses premiers jours pour que Rosa Brooks, ancienne avocate du Pentagone, écrive dans Foreign Policy (“3 Ways to Get Rid of President Trump Before 2020”) un aperçu de la manière de détruire sa présidence avant qu’elle ne commence, soit par le 25e amendement, soit par la destitution, soit par un coup d’État militaire (cf. également la lettre préélectorale d’août 2020 des officiers à la retraite Nagl et Yingling, appelant le général Milley à intervenir après l’élection avec la 82e division aéroportée pour destituer Trump) ? Qu’a-t-il fait au cours des premiers mois de son mandat pour que 58 membres de la Chambre des représentants votent en faveur de sa destitution ?
3) Qui a le plus nui au pays et à la vie de ses habitants, les quatre années de Donald Trump ou les deux ans et demi de Joe Biden ? Qui a organisé la traversée sans encombre de 8 millions de clandestins qui aura des répercussions pendant des décennies ? Qui a gardé le silence sur les quelque 100 000 décès annuels dus au fentanyl et sur le rôle direct de l’ouverture des frontières dans ces décès ? Qui a conçu le vol désastreux et mortel de Kaboul, programmé pour un coup public narcissique de célébration bon marché du triomphe du 20e anniversaire du 11 septembre, selon le Washington Post ? Qui a qualifié de “frappe vertueuse” le meurtre accidentel de dix civils lors du désordre de Kaboul, qui a téléphoné à son homologue de l’ALP pour le mettre en garde contre son propre commandant en chef, ou qui a illégalement détourné la chaîne de commandement ? Qui a fait grimper les prix des carburants, les taux d’intérêt et l’inflation, causant une misère indicible à des millions d’Américains ? Qui garde le silence sur la destruction du code pénal dans nos grandes villes, qui a contribué à déclencher une vague de criminalité sans précédent ? La liste des catastrophes actuelles qui passent inaperçues pourrait être allongée. Alors oui, si ces récentes accusations sur les conversations privées grossières et cruelles de Trump sont vraies, alors déplorons tous ce que Donald Trump a dit en privé à ses aides les plus proches et aux personnes qu’il a nommées.
Considérons aussi que ceux qui expriment cette indignation semblent rester silencieux sur les dommages concrets causés à nos institutions et à notre pays qui n’étaient ni rhétoriques ni spontanés – mais bien trop réels et planifiés.
https://cnn.com/2023/10/02/politics/john-kelly-donald-trump-us-service-members-veterans/index.html
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.
Source : The Gateway Pundit
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Ma tante, grande mécène, m’a dit au soir de sa vie une phrase qui me revient souvent à l’esprit : “Tu verras que les gens te pardonnent rarement le bien que tu leur a fait”. À méditer…
De la part de ces généraux félons et traitres à leur pays envers Trump qui leur a fait confiance, c’est un assassinat politique en déversant le fiel de leurs mensonges qui j’espere un jour se retournera contre eux. Aux prochaines élections Donald Trump à nouveau Président et qu’il aura l’autorité de faire traduire en justice tous ceux qui ont menti sous serment.