Publié par Magali Marc le 19 novembre 2023

Elon Musk a annoncé tôt samedi matin (le 18 novembre) que sa société X-Corp intentera lundi une action en justice de plusieurs millions de dollars contre Media Matters après les avoir pris en flagrant délit d’activité frauduleuse majeure. Dans la déclaration qu’il a publiée tôt ce matin, Elon Musk accuse Media Matters d’avoir créé un faux compte qui a ensuite classé les messages et les publicités apparaissant sur la ligne temporelle du compte afin de désinformer les annonceurs sur l’emplacement de leurs messages.

Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article de Monica Showalter, paru sur le site d’American Thinker, le 18 novembre.

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Elon Musk promet un “procès thermonucléaire” contre les fouines de Media Matters

Media Matters, l’organisation de diffamation financée par Soros qui prospère en intimidant les journalistes pour qu’ils adoptent son programme d’extrême gauche, s’est trompée de cible.

Selon Reuters :

“À la seconde même où le tribunal s’ouvrira lundi, X Corp intentera une action en justice thermonucléaire contre Media Matters et tous ceux qui ont participé à cette attaque frauduleuse contre notre entreprise”, a écrit Elon Musk dans un message publié sur X, sans nommer d’autres parties. En début de semaine, le groupe gauchiste de surveillance des médias, Media Matters for America, a déclaré avoir découvert que des publicités d’IBM, d’Apple, d’Oracle et de Xfinity de Comcast étaient placées à côté de contenus antisémites. Jeudi, IBM a déclaré qu’elle suspendait immédiatement toute publicité sur X, propriété de M. Musk, après que le groupe de surveillance a constaté que ses publicités étaient placées à côté de contenus faisant la promotion d’Adolf Hitler et du Parti Nazi. Disney, Warner Bros Discovery et Comcast, Lions Gate Entertainment et Paramount Global ont déclaré vendredi qu’ils suspendaient également leurs publicités sur X. Axios a rapporté qu’Apple ferait de même.

Thermonucléaire. Bien dit Elon ! Il est temps de demander des comptes à ces fouines puantes.

Le groupe de nuisance gauchiste, qui était jusqu’à récemment dirigé par David Brock, a reçu ses ordres de la Maison Blanche d’Obama dans le passé, et s’appuie maintenant sur une vieille tactique éprouvée qu’il utilise, en organisant un boycott des annonceurs pour tenter de définancer X.

Le hic, c’est qu’ils n’avaient rien à vendre aux annonceurs, alors ils ont inventé une histoire selon laquelle Elon Musk serait un fan des nazis (…).

Mais selon Elon Musk sur X, les gauchistes de Media Matters ont manipulé les résultats de recherche jusqu’à ce qu’ils obtiennent la seule publication nazie qu’ils voulaient et ont attendu qu’une publicité d’IBM se positionne à côté, ce qui s’est produit une fois et a été vu par une seule personne en plus de la personne de Media Matters qui la recherchait, parmi des millions de publicités.

Cela a suffi à Media Matters pour faire une capture d’écran, crier que M. Musk était du côté des nazis, et inciter une foule d’entreprises annonceuses à retirer leurs publicités. C’est tout un jeu qu’ils ont mis en place.

Aujourd’hui, Media Matters entend parler de la plateforme médiatique Twitter ou “X“, propriété de l’homme le plus riche du monde, et c’est l’heure des poursuites.

Le propriétaire Elon Musk peut payer des avocats et persuader les jurys de les tenir pour responsables.
À l’instar de NewsGuard, leur animal de compagnie gauchiste, ils ont le virus de la censure dans le sang.

NewsGuard suit le modèle de la “liste noire” inauguré par Media Matters, qui commence par salir les entreprises conservatrices et cible ensuite les annonceurs afin de les définancer.

Media Matters est allé un peu plus loin en tentant d’intimider les médias pour qu’ils se conforment à leurs “récits” gauchistes, en recourant à des tactiques bruyantes de dénonciation et de dénigrement et en ciblant souvent les annonceurs.

Les deux insistent sur le fait qu’ils ne sont que des arbitres insipides et désintéressés de la vérité, et non des sacs à merde motivés par un agenda.

Comme je l’ai écrit ici en 2012, lorsqu’ils ont été pris en flagrant délit de collaboration avec l’Administration Obama :

Abus de pouvoir : le Ministère de la Justice a été pris en flagrant délit de collusion avec l’organisme de surveillance des médias de gauche, Media Matters, afin de supprimer les critiques qui ont mis l’Administration Obama dans l’embarras. Qu’est-ce que c’est, le Venezuela d’Hugo Chavez ?

D’après un cache de courriels internes du Ministère de la justice obtenu par le Daily Caller, l’équipe de presse du procureur général Eric Holder collabore depuis le début avec l’organisme de surveillance des médias de gauche Media Matters pour salir tout journaliste posant des questions gênantes, pour décourager les lanceurs d’alerte, pour discréditer les chiens de garde politiques et pour supprimer les informations préjudiciables sur ce qui se passe au sein de l’Administration Obama.

Le Daily Caller a trouvé des dizaines de pages de courriels entre Tracy Schnakler, directrice des affaires publiques du Ministère de la justice, et des membres du personnel de Media Matters qui planifiaient et discutaient de la manière d’attaquer les journalistes qui couvraient des scandales tels que l’affaire de la suppression des votes des Black Panthers et le scandale Fast and Furious, dans lequel le Ministère de la justice a vendu des milliers d’armes aux célèbres cartels du crime mexicains – alors que le Ministère ne voulait pas que la vérité soit révélée.

Il ne s’agissait pas simplement de cas de partage excessif entre alliés politiques ou d’une quête d’accès, comme quand le New York Times a été pris en flagrant délit lorsque l’un de ses journalistes a soumis un article non publié à un agent de la CIA.

Il s’agissait de l’Administration Obama qui planifiait et dirigeait des opérations en haut lieu, dans un exemple grotesque où l’État, avec tous ses pouvoirs, utilisait une organisation de nuisance officieuse pour harceler ses détracteurs.

Après les faits, le Ministère de la justice a fait l’éloge de ces actes : “Excellent article”, s’est exclamé Schmaler après que Media Matters a attaqué les dénonciateurs du DOJ, J. Christian Adams et Christopher Coates.

Ils avaient un énorme stand à la Convention nationale démocrate de Denver en 2008, celle qui a désigné Obama avec ses piliers en polystyrène, comme président.

Ils peuvent maintenant expliquer tout cela à un juge et à un jury.

Espérons que “X” engagera les meilleurs avocats et utilisera ses larges poches pour gagner un procès en faveur de la presse libre, de manière à faire craindre des poursuites judiciaires à cette petite entreprise de diffamation qui fonctionne depuis trop longtemps comme un organe de censure pour la gauche.

Si M. Musk obtient gain de cause, il portera un nouveau coup en faveur de la liberté de la presse et de la vérité elle-même, tout comme il l’a fait en achetant Twitter.

S’il gagne, le premier amendement sera enfin en passe d’être rétabli.

Post Scriptum:

Le reportage de Media Matters devait servir à profiter d’une tempête d’indignation déclenchée par le fait qu’Elon Musk s’était dit d’accord avec le post d’un utilisateur selon lequel les organisations juives avaient soutenu une “haine dialectique contre les Blancs” qui se retourne maintenant contre eux dans le contexte du conflit entre Israël et la bande de Gaza. M. Musk a précisé par la suite que la cible de sa critique était les organisations gauchistes qui prétendent représenter tous les Juifs, en particulier l’Anti-Defamation League (Ligue contre la diffamation). L’annonce à laquelle Musk s’est rallié avait été faite en réponse à une publicité contre l’antisémitisme qui mettait en scène un père blanc de la classe ouvrière faisant la leçon à son fils sur les messages antisémites en ligne. De nombreux utilisateurs de X ont contesté cette publicité, étant donné que les enquêtes montrent régulièrement que les minorités sont plus susceptibles d’avoir des points de vue antisémites que les personnes de race blanche. (Source : https://www.breitbart.com/tech/2023/11/18/oppressors-of-right-to-free-speech-elon-musk-blasts-major-corporations-announces-plans-to-sue-media-matters/ )

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.

Source : American Thinker

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