Les antisémites du Squad, à Washington demandent un cesse-le-feu afin de protéger les civils “palestiniens” sans rien dire concernant les horreurs perprétrées par le Hamas sur des civils en Israël ou sur le fait que le Hamas et le Hezbollah continuent de bombarder Tel Aviv, Eilat ou Sderot. Or, à présent, elles sont remises en question par leurs collègues démocrates du Congrès.

Certains congressistes démocrates ne se gênent pas pour aller sur Fox News défendre l’idée qu’Israël a le droit de se défendre et qu’un cessez-le-feu (qu’Israël refuse) ne ferait que permettre au Hamas de se ré-armer. Comme je l’ai mentionné dans d’autres articles, certains analystes conservateurs annoncent un recul de la gauche en Occident du fait qu’elle a perdu tout repère moral et son fameux consensus.

Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article de Gary Gindler, paru sur le site d’American Thinker, le 4 novembre.

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La mort d’Archimède : l’alliance gauche-islam

Une légende concernant Archimède, célèbre mathématicien et physicien grec, affirme qu’il a été tué pendant le siège de Syracuse en 212 avant J.-C.

Selon le récit le plus courant, il était en train de dessiner des figures géométriques lorsqu’un soldat romain à la recherche d’une prime a fait irruption dans son cabinet de travail. « Ne dérangez pas mes cercles », a dit Archimède, mais le légionnaire romain, qui ne connaissait rien aux mathématiques, le frappa d’un coup d’épée.

L’histoire a démontré à maintes reprises au cours des deux derniers millénaires que les ignorants changent souvent l’histoire. Les génies victimes d’envahisseurs non civilisés, de voisins incultes ou de dirigeants débiles sont bien connus.

Les autopsies ne peuvent atténuer la perte d’un grand esprit pour l’humanité, et de nombreux contemporains l’ont reconnu.

Ainsi, Marcellus, un général romain qui a conquis Syracuse, s’est excusé auprès des parents d’Archimède.

Qui s’excusera auprès de qui lorsqu’Israël deviendra “Judenfrei” ?

Israël est en guerre avec les habitants de Gaza, dont un tiers épouse son cousin germain. En raison d’une consanguinité traditionnellement élevée, leur Q.I. moyen est d’environ 68.

Israël crayonne des cercles et des formules, s’efforçant de mettre au point des technologies du XXIe siècle. Combien de jeunes Archimède ont péri dans le massacre d’octobre ?

Malheureusement, l’histoire ne s’arrête pas là. Cela en a surpris plus d’un, mais le Hamas a de nombreux partisans en Occident.

Les experts et les hommes politiques occidentaux ont souvent un Q.I. (supposément) élevé. Nombre d’entre eux ont été pris au dépourvu par les décapitations et autres atrocités commises par les Musulmans et ne peuvent donc pas comprendre la “nature pacifique” de l’Islam.

En fait, l’Islam est “pacifique” parce que, selon le Coran, l’extermination de tous les juifs, chrétiens, bouddhistes et autres kafirs (infidèles), y compris les athées, établira enfin la paix sur la planète.

Les adeptes du Dieu Lune travaillent sans relâche à ce programme depuis le VIIe siècle.

La récente barbarie de la population gazaouie ne s’écarte pas d’un iota des dogmes consacrés par Mohammed, le riche voleur de caravanes.

La décapitation des bébés infidèles est le modus operandi de l’Islam depuis des siècles, alors pourquoi cette réaction soudaine de l’Occident ?

L’Islam ne voit rien de mal à démembrer des bébés ou à les faire cuire vivants dans un four tant qu’il s’agit d’infidèles.

Les Musulmans avertis souligneront qu’Allah interdit l’inhumanité, mais ce n’est qu’une jonglerie sémantique avec les contradictions bien connues des textes sacrés de l’Islam, le Coran et les Hadiths.

Pour le grand bonheur des Musulmans, le Coran – comme tout autre texte fondateur de toutes les religions – comporte tellement d’incohérences que l’on peut y trouver des opinions opposées sur des sujets brûlants.

Les rassemblements pro-Hamas dans toutes les capitales européennes et les grandes villes américaines ne sont pas le seul catalyseur de la réaction émotionnelle de l’Occident.

Malheureusement, la réaction hystérique des dirigeants occidentaux ne concerne pas les Israéliens torturés.
Ce que nous entendons, c’est le son de la déchirure du tissu islamo-gauchiste.

L’Union soviétique a cultivé l’alliance entre la gauche internationale et l’islam depuis les années 1950.

Le triomphe immensément important a été de mettre les radicaux communistes et les radicaux islamiques dans la même équipe.

La gauche, très majoritairement athée, a contracté un mariage de raison avec les forces religieuses. Et pas seulement avec les corps islamiques : outre la relation confortable bien connue avec les radicaux islamiques, bien que cela puisse paraître improbable, les radicaux de gauche ont fait entrer en douce un communiste reconnu au poste de dalaï-lama.

Un pape marxiste est à la tête du Vatican.

Cette mésalliance a donné naissance à la chimère idéologique – une idéologie hybride composée de parties différentes, apparemment incompatibles.

En outre, les enseignements fatalistes de Mahomet rappellent les endoctrinements stoïques de Marx.

Par conséquent, l’arrêt du développement des pays à prédominance musulmane par rapport aux pays non musulmans reflète l’arrêt des progrès des pays socialistes par rapport aux pays capitalistes.

Cependant, l’alliance stratégique de la gauche avec les régimes et groupes théocratiques, qui dure depuis plusieurs décennies, a atteint son apogée.

Les gauchistes radicaux sont rares au XXIe siècle, ce qui met fin à l’ère de l’échange de tactiques et de stratégies entre l’Islam militant et le gauchisme radical.

Au contraire, les voies de l’impérialisme islamique et de l’impérialisme de gauche commencent à diverger.

Les Accords d’Abraham, orchestrés par le Président Donald Trump, témoignent de cette divergence.

Les conséquences politiques des actions du Hamas ne peuvent pas être surestimées.

1) Tout d’abord, la gauche politique a été effectivement éliminée de la scène politique israélienne, du moins pour le moment.

2) Deuxièmement, les nombreux viols, les tortures et les décapitations perpétrés par la foule non éclairée des Arabes palestiniens ont soudainement réveillé l’Occident de son coma induit par le «wokisme».

Tandis qu’Israël connaît une illumination existentielle sans précédent, l’Occident suivra très probablement.

Pour les Juifs associés au gauchisme, c’est toujours “le gauchisme à tout prix”.

Depuis que Napoléon Bonaparte a fermé les ghettos juifs dans l’Italie occupée et accordé aux Juifs français des droits civiques complets, l’existence juive est liée aux gauchistes.

Metternich-Winneburg, consul autrichien à Paris, écrivait en 1806 : « Tous les Juifs considèrent Napoléon comme leur Messie ».

Depuis lors, de nombreux Juifs ont adoré de faux dieux, de faux prophètes et de faux messies, pour autant qu’ils affichent une position de gauche.

Toutefois, de nombreux juifs américains ont été ébranlés par le cauchemar des dernières atrocités, manifestations et menaces antisémites et ont résolument basculé dans la colonne des conservateurs.

Les gauchistes de Washington ont radicalement modifié les articles d’importation et d’exportation américains. Actuellement, nos exportations sont principalement constituées de diverses formes de tentatives de conciliation, et nos principales importations sont des souches d’anti-américanisme.

Malheureusement, ces Moyen-Orientaux génocidaires à la folie bénéficient du soutien de nombreux Occidentaux également suicidaires.

La ville de New York était autrefois la métropole juive américaine ; aujourd’hui, elle est ouvertement anti-américaine, anti-israélienne et pro-Hamas, se transformant en Newyorkistan sous nos yeux.Les politiques gauchistes ont fait de l’Amérique un pays sans frontières et sans dirigeants.

Pour reprendre les termes de Carl Philipp von Clausewitz, l’immigration incontrôlée et non vérifiée est le djihad par d’autres moyens.La déformation massive, le définancement, la démonétisation et l’annulation des conservateurs semblent être une victoire à la Pyrrhus pour la gauche.

Ils sont devenus un conglomérat de congrégations marginales (comme les LGBT et les juifs anti-israéliens) et d’activistes pro-Hamas (comme BLM et le Squad).

Cependant, l’avalanche de dé-financement par les riches donateurs des principaux bastions de la gauche – les universités – dans le sillage de la sauvagerie du Hamas est de plusieurs ordres de grandeur plus importante que toute démonétisation subie par les partisans de la droite.

Peut-être, cela réorientera-t-il les universités de la culture de la haine vers l’éducation.

Le Hamas a démontré que le monde musulman a atteint un niveau de dépravation que le reste du monde ne pouvait imaginer.

Il semble que de nombreux gauchistes modernes aient pris conscience du danger que représente l’association du djihad sous quelque forme que ce soit. Ils ont peut-être décidé de fuir leur partenaire violent.

Finalement, la soif de sang flagrante du Hamas a contraint Israël à abandonner toute tentative de plaire au monde ou de le supplier de lui accorder sa sympathie.

La dégradation culturelle auto-infligée de l’Occident ayant atteint le point de bifurcation, il lui faut choisir une voie parmi les deux seules qui s’offrent à lui : le retour au VIIe siècle ou le “retour vers le futur”.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.

Source : American Thinker