Richard Kempf remet les pendules à l’heure.
Les analystes avaient prédit que le Hamas infligerait des pertes terribles à l’armée israélienne. Ils se sont trompés.
Les forces de défense israéliennes attaquent le Hamas à Gaza depuis la terre, la mer et l’air depuis deux semaines, après une campagne aérienne de trois semaines. Avant le début des opérations terrestres, les conseillers militaires américains ont exhorté les Israéliens à ne pas lancer une campagne à grande échelle, qui, selon eux, entraînerait un bain de sang pour les FDI [Forces de Défense d’Israël – Tsahal] et serait moins efficace qu’une combinaison de frappes aériennes et de raids des forces spéciales. Les FDI ont rejeté ce conseil et ont pénétré dans la bande de Gaza avec une importante force combinée d’armes. Et elle a déconcerté ses détracteurs.
Les FDI ont dépassé les attentes de leurs propres commandants par la rapidité et l’ampleur de la destruction du Hamas. Elle a encerclé la ville de Gaza et se lance à l’assaut des bastions terroristes, tuant un grand nombre de combattants, y compris des commandants importants, détruisant des postes de commandement et obtenant des renseignements précieux, alors que ses forces ont subi moins de pertes que prévu.
C’est très impressionnant. Lorsque le Hamas a lancé son massacre d’Israéliens le 7 octobre, il savait qu’il y aurait des représailles et a préparé le terrain en détail pour ce qui se passe aujourd’hui. Les villes sont l’environnement le plus difficile à combattre, en particulier lors d’une attaque, avec d’innombrables rondes, des positions de tir couvertes et des cachettes pour les pièges, les charges explosives détonantes, les tireurs d’élite et les embuscades. Comme les Russes l’ont découvert l’année dernière, les chars et les véhicules blindés de transport de troupes sont particulièrement vulnérables aux missiles anti blindés à courte portée.
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Le vaste réseau de tunnels que le Hamas a construit sous Gaza représente un autre élément de danger extrême. Mais, dans une métaphore soignée de son opération, les FDI évitent tout simplement de pénétrer dans les tunnels chaque fois que cela est possible, préférant les faire exploser ou les faire s’effondrer depuis la surface.
Tout comme le Hamas a certainement dépassé ses propres attentes lors de son assaut initial, il a probablement aussi sous-estimé la férocité de la réponse d’Israël. Bien que les FDI n’aient pas encore localisé et tué les commandants terroristes au plus haut niveau, certains signes montrent que le Hamas est désormais soumis à une pression énorme. Les tirs de roquettes depuis Gaza n’ont jamais été aussi faibles depuis le début de la guerre et les dirigeants du Hamas supplieraient le Hezbollah au Liban d’organiser des attaques soutenues pour détourner l’attention des FDI.
Un autre signe que le Hamas est en difficulté est sa volonté de négocier, par l’intermédiaire du Qatar, la libération d’otages en échange d’un cessez-le-feu. Israël s’est à juste titre opposé à cette idée, qui amènerait Tsahal à se retirer derrière ses frontières et permettrait au Hamas de se regrouper et de se reconstituer.
Cependant, la communauté internationale réclame de plus en plus un cessez-le-feu, notamment en raison du nombre croissant de victimes civiles et des accusations de crimes de guerre. Les chiffres des pertes ne sont fournis que par le ministère de la santé de Gaza, contrôlé par le Hamas, qui ne fait aucune distinction entre les terroristes et les civils.
Les FDI agissent également dans le respect des lois sur les conflits armés, en faisant de leur mieux pour minimiser les pertes civiles, notamment en avertissant les gens de quitter les zones qu’elles s’apprêtent à attaquer. Depuis le début de la guerre, elle a largué 1,5 million de tracts, envoyé six millions de messages vocaux et quatre millions de messages textuels, sans compter les appels téléphoniques qu’elle a passés. Malgré ces efforts, de nombreux civils sont morts à Gaza. C’est tragique, mais inévitable lorsque le Hamas se cache au sein des populations civiles, les forçant souvent à rester dans les zones qui doivent être attaquées.
Alors que des dirigeants politiques tels que Joe Biden et Rishi Sunak ont jusqu’à présent toujours résisté aux appels lancés à Israël pour qu’il cesse le feu, ils ne cessent de répéter qu’Israël doit respecter les lois de la guerre et réduire au minimum les pertes civiles. Ils savent que c’est exactement ce que font les forces de défense israéliennes, et leurs paroles reviennent à prendre des postures pour apaiser les éléments de leur électorat qui s’opposent au soutien d’Israël. Ils devraient savoir qu’il ne faut pas couvrir le Hamas et ses partisans de cette manière.
Source : Telegraph
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Gaïa pour Dreuz.info.
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Le hamas, ce groupe dont les membres et les chefs vivent royalement, doivent disparaitre de palestine .. qu’ils rejoignent le hesbollah s’ils le souhaitent, cela ne fera plus qu’un seul front à défendre avec le soutien vraiment militaire de l’Amérique anti-Iran
Comme on dit: qui sème le vent récolte la tempête… Alors merci au Peuple de Dieu d’éradiquer les forces du mal qui se déguisent sous l’étiquette “islamiste”.
Quand le Hamas s’effondrera, le Hezbollah commencera à attaquer Israël ? Bon c’est pas certain car sinon il l’aurait déjà fait.
On verra…
Les dirigeants qui clament qu’ISRAËL doit minimiser les pertes civiles savent bien que c’est exactement ce que fait Tsahal : merci au document ci dessus (traduit par Gaia) de rappeler par le détail les mesures prises par l’armée israelienne POUR EPARGNER LES POPULATIONS CIVILES DE GAZA .
Tsahal devrait arrêter de prévenir les “civils” avant une attaque, ils ne peuvent plus surprendre l’ennemi et ça met nos soldats en danger.
Bibi a averti les habitants de Gaza depuis le début, ça suffit. Il leur a donné des instructions précises pour se mettre à l’abri. En plus, ils savent très bien où le haramas se cache, à eux de s’en éloigner.