L’islamisme est un dogme qui voudrait que les états se soumettent aux préceptes du coran et aux recommandations de son prophète, pour fonder au final un état islamique et imposer la « Charia ».
L’islam deviendrait religion d’état et un mode de vie, qui impose la suppression des lois étatiques en faveur de la seul loi qui vaille ; celle d’Allah ! Pour les islamistes vivant en Occident, l’environnement de vie, telle une chambre moisie, doit être assaini en appliquant les substances aseptisantes de la loi divine. À partir de là, et lorsqu’une religion comme l’islam lie l’épanouissement du «moi » supposément sain, au « nous » espace infecté à traiter, le vivre ensemble devient menacé, les clivages prononcés, les déséquilibres flagrants et l’affrontement, une évidence.
Par essence, l’islamisme ne s’exprime que dans deux espaces distincts (1) : la terre de l’Islam (Dar El Islam) sous-entendu terre de paix (où il est permis de vivre pleinement sa foi) et la terre de la guerre (Dar El Harb), désignant le reste du monde. C’est cette vision manichéenne qui pousse à considérer l’Occident comme un territoire peuplé d’impies, d’iconoclastes bon à conquérir et à civiliser.
Pour le courant salafiste, islamiste par excellence, qui prône le retour aux traditions strictes et à l’islam rigoriste des débuts, l’immigration (une recommandation céleste) pour les « terres de guerres » n’est qu’un moyen pour propager la religion et « purifier » un environnement malade. Ça serait inspiré par l’immigration « El Hijra » à Médine du prophète de l’islam et de ses compagnons, comme le lui ordonnait dieu, pour fuir les persécutions des siens à la Mecque. Il n’est, par contre, nullement question de respecter une quelconque loi, puisque les lois divines priment sur les autres formes de législations.
La religion musulmane, étant l’ultime révélation, devrait inéluctablement triompher sous l’impulsion d’Allah, qui permettrait l’accomplissement de la prophétie hégémonique ; Islam seule religion du monde !
Laïcité et Islam de France, un coup d’épée dans l’eau
Vu sous cet angle, tous les efforts consentis par les Occidentaux, depuis des siècles, pour fonder des sociétés tolérantes qui garantissent la liberté de culte et une neutralité face à la loi, deviennent vains.
La laïcité, telle que conçu en France, ne garantit nullement le même effet sur la religion musulmane
En France, la loi de 1905 (2) avait couronné un long processus initié par la révolution française, qui cristallisa définitivement le principe de la séparation de l’Eglise et de l’Etat. Cette laïcité va mettre fin aux privilèges ecclésiastique, et affirmer la liberté de culte comme un principe républicain. Sauf que la laïcité, telle que conçu en France, ne garantit nullement le même effet sur la religion musulmane. Faut-il rappeler que la laïcité française est une résultante d’un ras-le-bol populaire qui a dégénéré en violences envers les représentants des églises, encouragées par des discours anticléricales et autres mouvements de déchristianisation ?
Or, Il faudrait mettre l’emphase sur deux points essentiels pour la suite de l’analyse :
- Aucune demande n’émane actuellement des musulmans (ni de France ni d’ailleurs) pour mettre au « placard » une religion qui les définit plus que tout en tant qu’individu.
- L’organisation, et le fonctionnement des églises, n’a aucune similitude avec l’organisation du culte islamique.
En effet, même si la France en prônant un islam « français », a permis l’émergence de l’union des organisations islamiques de France (UOIF), il n’en demeure pas moins que celle-ci reste très peu influente. Permettre l’éclosion d’une élite religieuse et l’organiser comme s’organise la religion catholique pour pouvoir la « piloter » par la suite est loin d’être un gage de réussite, encore moins si les imams ne sont pas français.
Il faut savoir que la religion musulmane ne s’articule autour d’aucune autorité, fut-elle celle d’Al-Azhar d’Égypte. C’est que les musulmans ne croient qu’en une seule autorité ; celle d’Allah. Toutes les tutelles religieuses à travers le monde ne sont, théoriquement, là que pour garantir la pérennité de l’islam et en grossir un peu plus ses rangs.
Tenter à travers un islam de France de lénifier cette religion n’est qu’un simple mirage politicien, érigé pour répondre à un besoin d’une population en proie à la peur.
Dans un monde connecté, où l’information circule au-delà des frontières, que pourrait faire une autorité religieuse, non influente de surcroît, face aux homélies et aux « fatwas » qui nous parviennent quotidiennement des « pays d’Allah » ? Ces « fatwas » qui, se basant sur des textes coraniques irréfutables et sur le « Fiqh » (charia), fustigent toutes tentatives d’adoucissement du discours islamique.
La laïcité ne fait qu’offrir le terreau idéal à l’épanouissement d’une bête (islamisme) incontrôlable qui n’en demandait pas tant
La laïcité, au nom de la liberté du culte, aggraverait même la donne en permettant une pratique libre et incontrôlée de toutes les formes de l’islam, le prosélytisme à travers la « Daawa » (prêche), l’enseignement dans les écoles coraniques, la liberté de porter des signes ostentatoires dans les lieux publiques et le communautarisme.
Elle ne fait au final qu’offrir le terreau idéal à l’épanouissement d’une bête (islamisme) incontrôlable qui n’en demandait pas tant.
Même la laïcité rigide de la Turquie, pourtant centenaire, n’a pu empêcher l’ascension, puis l’arrivée des islamistes au pouvoir, car la demande émanait du peuple, et sa volonté était plus puissante que les règles imposées par Mustapha Kamel Atatürk.
Faut-il pour autant interdire la pratique de l’islam, en la mettant par exemple sous le joug de la loi sur les sectes et répondre à l’extrémisme religieux par un extrémisme d’Etat ?
Surtout pas, car mener une « désislamisation » par la prohibition ne fera que le jeu de l’islamisme, qui se sert de la victimisation comme tremplin et se satisfait pleinement du rôle du persécuté pour atteindre (par plus de violence et de terreur) ses objectifs hégémoniques.
Partir ou rester : Deux options, un seul objectif
Un curieux phénomène observé les dernières années, et très peu documenté, consiste à immigrer en « terre d’islam » en faisant le chemin inverse, une sorte de retour aux sources.
Curieux mais pas inexplicable.
C’est ainsi que de nombreux musulmans occidentaux (dont des nouveaux convertis ou des immigrés de dernières générations) préfèrent aller vivre leur foi dans des pays comme la Syrie, l’Irak, les pays du golfe, l’Égypte ou la Jordanie ! Ce phénomène trouverait son explication dans le coran et la sunna, et obéirait à des règles bien précises.
Des théologiens, comme le célèbre Mohammed Nassirueddine Al Albani (3), prônent un retour en terre d’islam des musulmans habitant à l’étranger, si leurs conditions de vie ne leur permettent pas d’affirmer publiquement leur religiosité et d’y observer ses différents rites. Pour lui, en se basant sur de nombreux hadiths, s’intégrer à la société d’accueil, côtoyer ces citoyens, y lier des amitiés ou même partager un repas est prohibé (Haram). Des versets coraniques interdiraient également et sans ambiguïté aucune, le séjour en terre des impies. Ceux qui y meurent risqueraient la damnation et les châtiments divins les plus atroces.
Selon lui, le coran nous ordonnerait de quitter « Dar Al-Harb », pour grossir les rangs des musulmans et permettre par la suite une conquête de masse et organisée ! Reculer pour mieux (re) bondir.
L’imam Mohamed Ali Farkous (4) entérine les « fatwas » d’Al Albani, en apportant quelques éléments d’éclaircissements.
Selon ce « Daïya » (prédicateur) influent, lorsque « Dar Al-Harb » permet une pratique complète de l’islam, une vie marginale sur place est permise. Il serait alors interdit de s’habiller comme les mécréants, de les imiter, de participer à leurs fêtes et même de les féliciter.
L’intégration, cheval de bataille du modèle français, devient désuet, lorsque confronté à de tels sermons.
Il explique la notion d’ »Al Bara wal wala » qui obligerait les croyants à rester fidèle à leurs convictions, à s’éloigner de la « Fitna » (trouble), à haïr et à mépriser les pays des « kafir » (mécréants) qu’ils habitent et toute sa population.
Sommes-nous condamnés à subir et comment agir
La première des choses à faire pour contrer ce courant dur de l’islam est d’agir en profondeur, en traitant les dérives de la religion musulmane comme on traiterait n’importe quel autre fléau, sans avoir peur de poser les vraies questions, ni de froisser les sensibilités.
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- L’islam est-il intrinsèquement violent ?
- Y a-t-il dans le texte coranique et le hadith des discours haineux, racistes ou xénophobes ?
- L’islam est-il réformable ?
- Sommes-nous condamnés à lutter contre un « fascisme religieux » dévastateur ?
- Quelles sont les pays qui financent l’intégrisme, quel est leur but, quels sont leurs méthodes ?
- Y a-t-il un profil type des personnes qui se radicalisent ?
- La laïcité telle qu’on la définit dans les pays occidentaux, donne-t-elle une quelconque réponse à ces questions ?
- Devrait-elle être revisitée, adaptée aux mécanismes propagandistes de l’islamisme, ou renforcée par des textes de lois supplémentaires ?
- La réponse doit-elle être sécuritaire (policière), sociale (en combattant toutes les inégalités), juridique, carcérale, psychologique, diplomatique ou militaire ?
- Quelle est la responsabilité de l’école de la république dans tout cela ? A-t-elle échoué dans sa mission de former des citoyens capables d’émettre un résonnement éclairé face aux dogmatismes dévastateurs ?
- Ne devrait-on pas commencer par défaire les mythes religieux, en parlant franchement de l’histoire des religions, en incriminant, sans concession aucune et en profondeur, les textes coraniques violents ?
Le rôle de l’école (sujet qui devrait être traité plus en profondeur) doit s’inscrire dans un vaste processus de « cantonnement » de l’islam dans son unique contexte où il devrait s’exprimer : le spirituel et le personnel.
Une fois ces questions posées, des débats publics autours de ces questions doivent être ouverts avec la participation de théologiens, de réformateurs, de sociologues, d’historiens et d’intellectuels (athées ou non) spécialistes de l’islam, afin que les musulmans puissent comprendre certaines réalités occultées (volontairement ?) sur la religion qu’ils pratiquent.
Les musulmans d’Europe se disent respectueux des lois de leurs pays, mais force est d’admettre que l’écrasante majorité ignore le côté sombre voir destructeur de leur religion.
Sous certains aspects, l’islam est en total opposition avec les déclarations universelles des droits de la personne, notamment sur la question de la liberté du culte, l’égalité raciale, l’esclavagisme sexuel et les droits de la femme.
Une chose est sûre, il ne faut jamais céder face à la terreur, car une population en proie à la peur est une population à moitié défaite.
L’intégrisme par définition se nourrit de nos craintes, s’alimente de nos doutes et prospère dans nos inquiétudes. Notre foi en un Etat laïque (une laïcité renforcée par des mesures adaptées aux nouvelles menaces religieuses), doit être plus forte que leurs convictions en un Etat théocratique.
Ne jamais concéder de terrain sur nos libertés.
Répondre aux agressions par plus de certitudes, à la provocation par de la détermination, à l’obscurantisme par notre fougue intellectuelle, pour démonter point par point les mythes et les fantasmes de ce dogme devenu une menace planétaire.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Hebib Khalil, journaliste indépendant, pour Dreuz.info.
Renvoi :
(1) Wikipedia.org
(2) L’évolution de la laïcité en France ; entre deux religions civils. Jean Beaubérot. Diversité urbaine, vol. 9, n° 1, 2009, p. 9-25. Erudit.org
(3) Vidéo du prédicateur Mohammed Nassereddine Al Albani
Site officiel du prédicateur Mohamed Ali Farkous
Il ne faut pas lâcher sur la laïcité.
Toute personne est bienvenue en France, à condition d’y respecter nos règles et coutumes.
Pour le reste, notre arsenal juridique permet de faire face à toutes les situations.
Exemple : l’enseignement privé des dispositions du coran prônant la mort de l’apostat, la mort des Juifs et des Chrétiens ou leur mise en esclavage, la mise à mort des homosexuels, l’infériorité de la femme, notamment au travers de son incapacité juridique, etc. peut être interdit.
Le problème n’est pas l’islam, ce sont ces occidentaux qui permettent l’islamisation.
L’Occident et l’islam se font la guerre depuis 1400 ans.
L’Occident a toujours assumé cette guerre.
Mais aujourd’hui, il capitule. C’est du jamais vu.
L’islam est trop bête pour pouvoir gagner contre l’Occident.
On aurait pas pu imaginer ce qui se passe aujourd’hui il y a 50 ou 100 ans.
Il y a 50 ou 100 ans, nous aurions simplement dit : NON, pas question, et ça aurait été terminé (non au voile des femmes, non au coran, non aux mosquées etc.), mais aujourd’hui il est interdit de dire non.
C’est donc bien au bénéfice de la grave crise qui agite l’Occident que l’islam peut prendre ses avantages.
C’est en résolvant les problèmes qui se posent à l’Occident que nous ferons refluer cette idéologie politico-religieuse, qui est pire que le nazisme et le communisme, et dont personne ne peut sérieusement prétendre qu’elle est acceptable pour nous, encore moins enviable.
Le travail à faire devrait être impulsé par nos politiques, mais ceux-ci, de toute évidence incompétents à cet effet, préfèrent précipiter l’effondrement.
Il y a trois choses principales à régler :
– répondre à la question de savoir par quels mécanismes on en arrive à transformer les mots en armes et à massacrer de façon industrielle des millions de personnes (ce qui s’est passé durant le IIIème Reich revient aujourd’hui, certes sous d’autres apparences : le fantasme de meurtre est à nouveau en voie d’être libéré);
– remettre la technique, la science et l’économisme (y compris le management) à leur place et donc renvoyer le scientisme au placard;
– refonder le religieux : c’est la religion qui, en toute civilisation, donne leur crédit aux mots. Ce rôle fiduciaire de la religion est fondamental, car la raison de vivre est faite de mots, construite avec de la parole. Or, les mots sont aujourd’hui devenus creux : il n’y a plus de parole consistante (les discours de Monsieur VALLS, notamment à propos de l’antisémitisme, sont sûrement sincères, mais les mots sont creux – ce dont Monsieur VALLS n’est évidemment pas responsable).
C’est une laïcité de combat qu’il faut au monde libre.
Pour l’instant il n’y a que des couilles molles, à droite comme à gauche.
Valls a l’air de se réveiller, un peu faux cul il dénonce le salafisme,
alors que c’est le dogme musulman et son idéologie qu’il faut pointer du doigt !
Au moins a-t-il identifié l’entrisme islamique, et sa volonté hégémonique, c’est un bon début.
Par rapport à ce qu’étaient les positions de la gauche, et ce qu’elles sont encore chez beaucoup, on peut dire qu’il a franchi le Rubicon! Comme Elizabeth Badinter, ou quelques autres.
Comme l’excellent Malek Boutih, qui a l’avantage de ne pouvoir être taxé de raciste anti-arabe et d’islamophobe, au grand dam des idiots utiles de l’islam perdus dans leur vision idéologique délirante du monde!
Je ne résiste pas à l’envie de vous en présenter quelques-uns :
https://bourgoinblog.wordpress.com/2015/01/07/montee-de-la-haine-anti-islam-a-qui-profite-le-crime/comment-page-1/#comment-6477
(voir aussi les commentaires). A noter que cet « article » a été écrit, ô ironie, le 7 janvier 2015, le jour même de la tuerie de Charlie- Hebdo. Même pas sec qu’il était démenti par la réalité faisant irruption dans ces beaux discours déconnectés d’elle.
Et tout frais une tribune hallucinante d’un obscur « collectif d’enseignants pour le port du voile » (CEAL). Oui, ça existe! Et ça fait peur…
http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1503068-islam-voile-elisabeth-badinter-seme-la-division-elle-complique-notre-role-d-enseignant.html#reaction
Et l’article est estampillé « sélectionné par le nouvel obs »! Ces gens sont fous! Et même fous furieux.
Pendant qu’en Belgique, un islamologue converti, M. Privot , prêche la « bonne parole « dans plusieurs villes et milite pour un « islam de Belgique » ! Il y aurait donc plusieurs islams…de Belgique, de France, d’Italie…??? En réalité, c’est pour mieux faire avaler la pilule, arrondir les angles, rendre cette idéologie totalitaire plus acceptable ! Un islam édulcoré qui passerait mieux auprès des Occidentaux. C’est oublier que le salafisme pur et dur, violent et barbare est l’origine de l’islam, celui-là même qui a été mené par le fer du vivant de son fondateur ! Les tenants de la laïcité, francs-macs en tête, n’ont décidément rien compris ou alors, ils jouent le jeu des muzz !
Les musulmans se fondent sur le coran et les hadiths pour définir les divers courants islamiques (ou islamistes); Or le coran est non modifiable ET contraire a la DUDH, et à nombre de nos lois par bien des points. De surcroit l’islam bien moins religieux qu’il n’est politique. Je pense donc que les états pourraient s’en sortir sans interférer avec les vraies religions en déclarant que l’islam est un projet politique dictatorial. Ainsi, pas d’interférence avec le libre exercice des cultes ou la laïcité.
Les musulmans sont des monothéistes; Mais portés par une branche dégénérée du judaïsme et de la chrétienté, je crois il n’y aurait aucun mal a persuader un grand nombre de musulmans modernes et pacifiques de quitter cette embrigadement mortifère pour peu qu’il soient persuadés que personne ne viendra leur couper la tête pour apostasie.
Comme si vous ne l’avez déjà pas compris !!
Comme si vous le découvrez maintenant !
Jamais dans ce pays on a autant parlé de « LAÏCITÉ », qu’actuellement.
Plus le nombre de mosquées augmente en France, plus la population musulmane s’installe, ……. Et plus on entend parler de « LAÏCITÉ »
Du jamais vu !
Les « IMAMS » sont ravis, ……. La « LAÏCITÉ » en France leur ouvre un « BOULEVARD ».
A quoi se bornent les fervents de la « LAÏCITÉ » ? ………. Vous ne vous êtes jamais posé la question ?, ………. Ce sont eux les premiers à démolir les « CRÈCHES » dans les lieux publiques, A enlever les « SAPINS de NOËL » dans les écoles et dans les mairies. A faire disparaître du paysage public tout « CRUCIFIX » ……. Et tous les signes faisant référence à la CHRÉTIENTÉ.
Les « LAÏQUES » ont réussi à faire enlever la « CRÈCHE de NOËL » cet hiver, sur les CHAMPS ELYSÉES ……….. La Mairie de Paris qui fête le RAMADAN, n’a pas trouvé mieux que de leur donner raison.
De religion juive, je défendrais toujours le caractère chrétien de la France.
« De religion juive, je défendrais toujours le caractère chrétien de la France »
Merci à vous Yossef!
Et moi, chrétienne, je défendrai toujours Israël et son peuple.
je suis un peu surpris en lisant ce long article qui revient plusieurs fois sur le « moi » et « l’individu », alors que cette réalité ne fait pas sens dans la « oumma ».
C’est la tradition biblique, judeo-chrétienne, qui met l’accent sur la personne, la destinée de l’individu. En effet, la Bible est personnaliste, même si la communauté a un rôle important. La tradition islamique, quant à elle, est collective et ce collectif politico-religieux prime toujours sur l’individu.
hi
» Répondre aux agressions par plus de certitudes, à la provocation par de la détermination, à l’obscurantisme par notre fougue intellectuelle, pour démonter point par point les mythes et les fantasmes de ce dogme devenu une menace planétaire. »
NON
l histoire et la science ont prouvé que
1) l épée est necessaire et vitale face a certain ennemi barbarre et sanguinaire et sans foi ni loi pour les vaincre
la violence barbarre et necesaire pour survivre face a un ennemi sanguinaire
2) le principe de la takkya , intiment lié a la metapsychopatholie islamic , ne peut etre brisée par le principe des fait , de la verité
pour combattre certain mensonge il faut utilisé le mensonge aussi
3) come sun tzu disait liu meme
» la faiblese ets une force
la force est une faiblesse »
le mensonge est composé a la fois dune partie de verité et dune autre parte de mensonge ; mais la temporalité n est pas la meme on dit d abort la verité et l on ment ensiute par exemple etc
la takkya permet de fiur les fait et d accroitre les capacité a survivre dans le denie pour sa survie
mais la takkya permet aussi d accroitre l incapacité a dissimulé certainne verité .
*car plus on ment et plus on revele certainne verité que l on cherche justement a dissimulé
etc
la palette des solution a adopter pour vaincre ce type d ennemi islamofaschiste et plus subtile et complexe que l on croit
a nous d en tirer l avantage
by
La Laïcité, pur produit chrétien, doit s’ équiper d’un arsenal anti-secte pour faire face à un danger qu’elle n’a pas vu venir; Il faut interdire l’ islam, couveuse de scorpions;
Il n’y a pas un islam de France, un islam de Belgique, un islam d’Allemagne, etc.
C’est un leurre! Il n’y a qu’un seul islam, et il n’est pas modéré.
« L’expression « islam modéré » est laide et offensante » dixit le sultan islamiste d’Ankara et il sait de quoi il parle.
Si les musulmans d’Europe estiment qu’ils doivent retourner en terre d’islam, afin de pouvoir y pratiquer leur foi en toute liberté, nous les encourageons chaleureusement à le faire.
Le respect de la laïcité devient aussi le prétexte pour détruire le christianisme, afin de créer un vide, vide à combler au plus vite par l’idéologie islamo-nazie.
La crèche, symbole chrétien dans un pays chrétien, n’est exposée qu’une dizaine de jours par an, mais cela offusque les soi disant « libre penseurs » à la solde des lobbies antichrétiens, mais pro-islam.
Une crèche, un chant de Noël, un sapin illuminé, mais quelles horreurs pour les défenseurs de la laïcité, surtout motivés par leur haine du christianisme. Songez aux pauvres enfants musulmans, qui pourraient être traumatisés à l’écoute d’un chant de Noël à l’école, un chant n’appelant pas à la haine de l’autre, à la vue d’une crèche dans le hall d’une administration, dans une salle de classe, sur une place publique, ils sont si délicats, si sensibles, ces petits!
Par contre, les femmes voilées, en niqab, en hijab, en burqa, ces masses informes, sans visage, qui déambulent dans nos rues, à longueur d’année, ces salafistes en tenue religieuse du VIIe siècle, les cantines halal, les fêtes musulmanes, les égorgements d’innocents moutons, au nom de leurs traditions barbares, les prières de rue, les financements des « casernes » de la haine par les maires, en contradiction totale avec la loi de 1905, etc. ne semblent pas heurter les ayatollahs de la laïcité, ces esprits mesquins, si prompts à citer en justice, quiconque ose s’opposer à leur « libre pensée » !
Ces « libre penseurs » sont-ils aussi financés par les ennemis du Monde libre, pour qu’ils s’acharnent de la sorte contre les symboles et les traditions chrétiennes, tout en étant si angéliquement bienveillants, si admirablement conciliants envers cette pseudo religion suprématiste et liberticide, qui envahit jour après jour nos lieux de travail, nos écoles, nos rues, nos vies?
Bientôt, pour ces tordus, un ciel étoilé sera aussi une offense à la laïcité, car l’Etoile du Berger est liée à la nativité du Christ. Noël : ce mot, qui les offense, ces fous de la laïcité, ce mot qu’ils aimeraient interdire et remplacer sans doute par … Aïd !
Seuls les croissants de lune seront glorifiés et admis par ces tocards de la laïcité à géométrie des plus variable!
Les musulmans ne peuvent pas respecter la laïcité car chez eux tout est fondu : théologie, droit, social, symbolique.
Il n’en va pas de même en Occident :
Lorsque, après des siècles d’oubli durant les invasions barbares, les textes romains ont été retrouvés au 10 ème et 11 ème siècle, les moines se sont aperçu que le texte de la Bible ne contient que très peu de règles juridiques concernant ce que l’on appelait alors le vivre.
Il y a avait en effet alors les règles du vivre et les règles du croire.
La Bible contenait tout ce qu’il fallait en matière de règles du croire.
Les moines ont donc exhumé les textes romains, qui contenaient tout ce qu’il fallait pour réglementer le vivre (droit des contrats, du gage, du mandat, filiation etc.).
Le moine Gratien a alors fait une sorte de compilation : il a joint droit romain et textes de la Bible en un ouvrage nommé Décret de Gratien.
C’est plus qu’une simple compilation : c’est une authentique création.
On parle à ce sujet aussi de la schize chrétienne.
Cet ouvrage capital a eu une influence très forte sur le devenir de l’Occident.
De fait, il y a depuis un système très souple et dont les deux parties ne sont pas fondues : les règles de la vie de tous les jours d’une part, la Référence d’autre part.
Par Référence on entend tout ce qu’une civilisation considère comme le plus important : Dieu, la Raison (à l’époque de la Révolution française), la Démocratie, le Peuple (URSS, CHINE), l’argent (USA : l’inscription « In God we trust » est inscrite sur le dollar américain) etc.
Vous pouvez comparer la partie Référence à un logiciel : il suffit de changer le logiciel ou de l’adapter. Bien entendu, les deux parties fonctionnent ensemble.
Ainsi, l’Occident a pu conquérir facilement diverses parties du monde car il a modifié la partie Référence en fonction des conceptions et croyances qu’il rencontrait dans les pays conquis.
En islam, pareille dualité n’existe pas. Elle n’est pas même concevable.
Les laïcisations successives ont fait passer la mission de porter la Loi et d’accompagner les humains de la vie jusqu’à la mort au travers des institutions, de l’Eglise à l’Etat.
En islam, même cette distinction est impossible et la notion d’Etat est incompréhensible.
Par conséquent, Occident et islam sont incompatibles.
Ils se font la guerre depuis 1400 ans et lorsque deux Références se font la guerre, elles finissent toujours par stopper la guerre et négocier.
Or, ce que nous constatons aujourd’hui, c’est que l’Occident refuse de faire la guerre.
Il ne peut donc aucunement négocier et il se soumet à son adversaire, lequel obtient tout ce qu’il veut sans faire la moindre concession.
Sur ces questions capitales, vous pouvez voir Pierre Legendre, juriste et psychanalyste, notamment Sur la question dogmatique en Occident et vues éparses.
Que cela plaise ou non, si l’islam parvient aujourd’hui à prendre le pouvoir en Occident, notamment en France, c’est bien parce que l’Occident, de par son évolution, prend des positions qui le permettent, et on ne résoudra pas les catastrophiques problèmes posés par l’islamisation en criant et en dénonçant les méfaits de l’islam.
Il faut non seulement continuer à dénoncer, bien entendu, mais également voir un peu plus loin et prendre un peu de hauteur et admettre modestement que les choses ne tournent plus rond chez nous (pour dire les choses simplement).
L’islam castre tous les musulmans, tout le reste va de suite!
Moi aussi Yossef, et Rosaly , je ne suis pas chrétien et je défendrais toujours le caractère chrétien de la France . Et je défendrais toujours les juifs qui eux n’ont jamais remis en question le droit d’être ce que je suis , un homme libre .